Les SAYANIM - informateurs en hébreu - sont des Juifs de la diaspora qui, par "patriotisme", acceptent de collaborer ponctuellement avec le Mossad, ou autres institutions sionistes, leur apportant l'aide nécessaire dans le domazine de leur compétence.
Une illustration avec l'affaire Shalit, le soldat israélien enlevé par le Hamas. C'est un caporal d'une armée d'occupation, et pourtant son nom est devenu incontournable.
Pire. Son père, simple employé, a été reçu à plusieurs reprises par Sarkozy, Merkel, Barroso, Bush et Obama, le secrétaire général de l'ONU, du parlement européen, etc. Avec quel argent? De quelles complicités haut-placées a-t-il bénéficié? Et à quel titre?
Grâce aux Sayanim, le monde entier sait qu'UN soldat israélien est "otage" du Hamas, ce qui fait oublier les 11 000 prisonniers politiques palestiniens, souvent emprisonnés sur simple "détention administrative".
Il serait fastidieux de lister les hommes politiques français qui s'inquiètent de son sort. Rappelons que la mairie du 16e affiche fièrement son portrait.
Jacob Cohen
Dernier roman: Le Printemps des SAYANIM, éditions l'HARMATTAN
Eh! oui...Voila la difference entre l'Etat d'Israel et tes amis arabes reactionnaires. En Israel, UN SEUL etre humain est un monde complet, un univers irremplacable, un tresor d'une valeur inestimable, plus cher que la prunelle des yeux. Chez tes amis, au contraire (voir ton ami Gamal Abdel Nasser), on est pret a immoler un million de citoyens, pourvu que le resutat soit de jeter tous les Juifs a la mer (voir ton ami Ahmadinajad).
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