lundi 28 novembre 2011

La "novlangue" sioniste du CRIF

La "novlangue" consiste à exprimer une réalité par un euphémisme pour lui enlever son caractère brutal ou illégitime.
Reçus à déjeuner par leur complice Sarkozy, les dirigeants du CRIF ont présenté leurs exigences:
Le terme colonies devrait être remplacé par implantations, plus neutre, car "colonies" renvoie à ce qui se faisait dans les territoires colonisés par l'Occident, ce qui fait mal aux oreilles sensibles des "judéo-sionistes".
Pour ces derniers, il n'y a pas de "territoires occupés", mais seulement "disputés", d'ailleurs dans leur grande générosité, les sionistes accepteraient de rétrocéder jusqu'à 40% de ce qui reste de la patrie palestinienne.
A condition d'assurer la "sécurité" de l'entité sioniste. Vous comprenez, la puissance nucléaire et les armements les plus modernes ainsi que le soutien inconditionnel de l'Amérique et de l'Europe ne suffisent pas à tranquilliser les sionistes. Par "sécurité", notion somme toute compréhensible, le régime sioniste entend garder le contrôle des frontières et de l'espace aérien d'un hypothétique bantoustan éventuel que la générosité sioniste accorderait aux sous-hommes qu'ils dominent.
D'après les responsables du CRIF leur allié et complice Sarkozy a prêté une oreille attentive à leurs doléances.

samedi 26 novembre 2011

vendredi 25 novembre 2011

Sarkozy se soumet aux diktats du CRIF

Une délégation du CRIF a été reçue le 23 novembre 2011 pour un déjeuner à l'Élysée avec le Président de la République, en présence du Ministre d'État, Ministre des Affaires étrangères et européennes, M. Alain Juppé. La délégation du CRIF était composée de Richard Prasquier, président, Meyer Habib et Ariel Goldmann, vice-présidents, Francis Kalifat, trésorier, et Haim Musicant, directeur général.
Le repas, auquel participaient Jean David Levitte, conseiller diplomatique et Christian Fremont directeur de cabinet, s'est déroulé dans une ambiance de grande chaleur et de complète franchise.
L'Iran, dont la course à l'armement nucléaire, amplement démontrée désormais depuis le rapport de l'AIEA, est considérée comme un danger essentiel pour la paix du monde, la sécurité de l'État d'Israël et l'équilibre des forces au Moyen Orient a été le premier sujet abordé, à la suite de la proposition française de modifier drastiquement le niveau des sanctions par l'interruption des achats de pétrole iranien et le gel des avoirs de la Banque centrale d’Iran. La France considère que tout doit être tenté pour éviter les frappes militaires et que les sanctions économiques représentent une dernière chance pour la paix: il faut qu'elles deviennent aussi efficaces que possible.
Le chef de l'État a déclaré avec solennité que pour la France, la sécurité d'Israël n'était pas négociable et que la France se tiendrait aux côtés d'Israël si ce dernier était menacé.
Aux questions sur les risques de succès islamistes là où se sont produits les révolutions qualifiées de "printemps arabes", le Président a marqué la nécessité de grande vigilance mais aussi sa certitude que cette évolution recèle à long terme les meilleures chances pour la paix, car les démocraties ne se font pas la guerre et les dictatures ne sont pas des remparts efficaces contre l'aggravation des conflits.

Alain Juppé a fait un tour d'horizon des différents Etats arabes, en insistant sur les risques d’une grave dégradation de la situation économique en l'Égypte et la détermination de la France en Syrie. Le Président de la République considère que la période brève de réchauffement entre la France et la Syrie avait été bénéfique pour l'indépendance du Liban par rapport à la Syrie mais que le gouvernement libanais est actuellement sous l’influence du Hezbollah. L'intervention de l'OTAN en Libye, où la France a joué un rôle déterminant, a permis de protéger la population libyenne des massacres que lui promettait un dictateur sanguinaire, et quelle que soit l'évolution, le Président considère que ce faisant, les ferments de la liberté et de la démocratie ont été plantés dans ce pays. Il a confirmé que la venue de Kadhafi à Paris était liée à la solution, par la France, du martyre des "infirmières bulgares".

Nicolas Sarkozy pense que l'évolution dans le monde arabe impose au gouvernement israélien d'en tirer les conséquences et de faire de nouvelles ouvertures. Il considère que la question des constructions dans les implantations qui a été mise au premier plan par M. Mitchell, suivi par le gouvernement américain, ne devrait pas faire partie des conditions prérequises à des négociations, et que ce fut une erreur de la mettre sur ce plan, mais il regrette que l'annonce de nouvelles constructions vienne donner un signal politique négatif pour la reprise du dialogue entre Israéliens et Palestiniens.

La délégation du CRIF a rappelé que le gouvernement israélien avait gelé les constructions pendant dix mois sans que cela amenât les Palestiniens à la table des négociations. Elle a regretté les confusions permanentes entre Jérusalem, dont elle rappelé la centralité aux yeux du peuple juif dont c'est la capitale, et les territoires "disputés". Le terme d'implantations, qui est neutre devrait être utilisé à la place du mot "colonie" qui connote toute l'histoire du colonialisme européen: il est choquant et paradoxal, s'agissant des lieux de Judée, où la présence juive est particulièrement ancienne.

Les relations entre la France et Israël ont été ainsi longuement abordées. Le Président de la République a rappelé que sa carrière politique tout entière montrait la profondeur de son attachement pour Israël et il s'est étonné de la virulence des critiques contre lui par certains segments de la communauté juive de France. Il a parlé de son engagement personnel pour la libération de Gilad Shalit, reconnue par les parents de celui-ci, de son discours à la Knesset au cours de son voyage d'État en Israël et de la permanence de ses positions. Il a évoqué ses relations anciennes d'amitié pour Benjamin Netanyahu et sa famille et de sa volonté de surmonter les malentendus récemment installés.

La délégation du CRIF a rappelé les récentes prises de position, qui avaient entraîné une surprise et souvent un choc dans la communauté juive de France. Notamment, le soutien de la France à l'entrée de la Palestine comme État membre de l'UNESCO signifie que les tentatives de délégitimation historique de la présence juive vont se développer (caveau des Patriarches à Hébron, tombeaux de Rachel et de Joseph, travaux dans la vieille ville de Jérusalem); elle signifie aussi que aucun cas n'est fait, dans l'enceinte de l'Éducation, de la Culture et de la Science, au discours de haine et de déni, notamment, mais pas uniquement, celui du Hamas à Gaza.

Le président de la République a souligné qu'il fallait renforcer le poids international de l'Autorité Palestinienne, présidée par Mahmoud Abbas, qui reste un interlocuteur modéré et doit se confronter à des adversaires politiques beaucoup plus virulents.

Il a rappelé également que la France ne soutiendrait pas la demande de reconnaissance de la Palestine comme un État membre par le Conseil de Sécurité des Nations Unies.

Concernant le statut d'État non membre pour la Palestine à l'Assemblée Générale des Nations Unies, le Président de la République a indiqué, comme il l’avait déclaré le 21 septembre à l’ONU, que la France y était favorable dans son principe et a considéré qu’un accord sur quatre points contribuerait à réunir un soutien très large, y compris de la part d'Israël, sur cette initiative.

Ces quatre points sont les suivants : une négociation visant à deux États-Nations, l'État d'Israël pour le peuple juif, l’État de Palestine pour le peuple palestinien ; une pleine prise en compte des exigences de sécurité d'Israël ; une relance des négociations bilatérales sans préalable ; un engagement à ne pas utiliser ce nouveau statut pour mettre en cause Israël devant les juridictions internationales.

Richard Prasquier

lundi 21 novembre 2011

BHL, le judaisme, le sionisme, Israël, et la Libye. Cherchez l'erreur!

Le philosophe Bernard-Henri Lévy a déclaré, dimanche 20 novembre 2011, que "c'est en tant que juif" qu'il avait "participé à l'aventure politique en Libye", lors de la première Convention nationale organisé par le Conseil représentation des organisations juives de France (CRIF). "J'ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël", a-t-il déclaré.

Le CRIF tenait dimanche 20 novembre à Paris sa première convention nationale, intitulée "Demain les Juifs de France", à laquelle participaient de nombreux intellectuels, politologues, sociologues, chercheurs. Près de 900 personnes ont ainsi assisté à des débats, très ouverts, souvent animés, sur les défis communautaires, les nouveaux visages de l'antisémitisme, ou les nouveaux défis pour les juifs de France. Bernard-Henri Lévy, invité à s'exprimer sur ce thème a déclaré: "C'est en tant que juif que j'ai participé à cette aventure politique, que j'ai contribué à définir des fronts militants, que j'ai contribué à élaborer pour mon pays et pour un autre pays une stratégie et des tactiques". "Je ne l'aurais pas fait si je n'avais pas été juif", a poursuivi le philosophe. "Ce que je vous dis là, je l'ai dit à Tripoli, à Benghazi, devant des foules arabes, je l'ai dit lors d'une allocution prononcée le 13 avril dernier sur la grand place de Benghazi devant 30.000 jeunes combattants représentatifs de toutes les tribus de Libye", a-t-il ajouté.

"SALAFISATION" de la société sioniste: Les femmes remises à leur (vraie) place

Article de Libération

Cachez cette femme que je ne saurais voir. Sous la pression des juifs ultra-orthodoxes, les femmes sont de plus en plus rares sur les panneaux publicitaires de Jérusalem. Dernière victime : la top-model israélienne Sandy Bar. Dans toutes les autres villes du pays, elle est visible dans des poses avantageuses, présentant la collection d’hiver d’une chaîne de vêtements. Mais à dans la Ville sainte, les publicitaires ont cédé à la pression des hommes en noir : les affiches sont recentrées sur un gros plan de l’avant-bras de la mannequin.

Une organisation pour le don d’organes a également préféré faire disparaître les portraits de femmes de la mosaïque de visages qui accompagne ses publicités. Dans certains quartiers religieux de Jérusalem, les affiches représentant le beau sexe sont en effet souvent arrachées, poussant les annonceurs à l’autocensure dans une ville où un quart des habitants se définissent comme des juifs ultra-orthodoxes.

Ces dernières années, les femmes sont de plus en plus marginalisées dans cette communauté qui représente 10% de la population de l’Etat hébreu. En octobre, pendant les fêtes juives, une rue du quartier religieux de Mea Shearim, à Jérusalem, a pour la première fois été divisée en deux : un trottoir pour les hommes, l’autre pour les femmes. La Cour suprême est ensuite intervenue pour mettre fin à cette ségrégation. «L’oppression croissante des femmes par les religieux radicaux a des répercussions dans l’ensemble de la société», s’inquiète la députée de gauche (Meretz) Zehava Gal-On, militante de longue date pour les droits des femmes.

L’armée, dans laquelle les jeunes Israéliennes effectuent deux ans de service obligatoire, est particulièrement touchée en raison du nombre croissant d’officiers religieux. Les incidents se sont multipliés ces derniers mois : des cadets ont quitté un séminaire parce que des soldates y chantaient - ce qui est considéré comme impur par certains religieux radicaux -, les femmes ont été séparées des hommes lors de plusieurs cérémonies militaires et des officiers religieux ont demandé que les soldates ne soient plus intégrées dans les unités de combat mixtes. Plusieurs généraux à la retraite se sont également inquiétés, dans une lettre ouverte au chef d’état-major, de «discriminations […] contraires aux valeurs fondamentales de la société israélienne».

Entre 2007 et 2011, l’Etat hébreu est passé de la 36e à la 55e position du Global Gender Gap Index, publié par le Forum économique mondial, qui mesure les différentiels hommes-femmes dans 135 pays. Cette année, l’Etat hébreu se classe derrière la Mongolie, le Kirghizistan et la Namibie.

samedi 19 novembre 2011

jeudi 17 novembre 2011

Les sionistes n'en reviennent pas d'être stigmatisés en Irlande

Pauvres sionistes! Le temps est loin où ils bénéficiaient d'une sympathie automatique du David sympa contre un Goliath barbare. Evidemment, ils ne font pas le lien avec l'occupation, les arrestations, la torture, les barrages, le nettoyage ethnique, les ratonnades...

Ci-dessous le cri d'un site sioniste:
L'Irlande est le pays le plus hostile à Israël en EuropeLa haine d'Israël atteint des nouveaux sommets en Irlande. Une scandaleuse campagne anti-israélienne a eu lieu le week-end dernier sur la principale rue piétonne de Dublin, représentant les soldats de Tsahal en soldats nazis. Dans le cadre de cette action, parrainée par le conseil municipal de Dublin, un groupe de militants pro palestiniens a mis en place une maquette de la barrière de séparation et de barrages de Tsahal.
Les militants se sont habillés en soldats et ont battu, humilié et pointé leurs armes vers d'autres activistes déguisés en palestiniens, et ce devant des milliers de citoyens irlandais et de touristes.
Cette action rejoint des accusations lancées contre Israël au parlement irlandais la semaine dernière, disant qu'Israël avait "kidnappé, maltraité et déshabillé" les ressortissant irlandais qui ont participé à une flottille pour Gaza et arrêté récemment par Israël. Ce n'est pas tout. Un groupe Facebook lancé il y a deux mois appelle au lancement de lourdes pierres sur le bâtiment de l'ambassade d'Israël à Dublin.

samedi 12 novembre 2011

Dernière lubie sioniste: Le peuple palestinien, une invention du KGB

Par Guy Millière, le (néo)con pro-américain et sioniste.

C’était, note Ion Mihai Pacepa, ancien chef de la Securitate roumaine, dans son livre The Kremlin Legacy, un jour de 1964, « nous avons été convoqués à une réunion conjointe du KGB, à Moscou ». Le sujet était d’importance : « il s’agissait de redéfinir la lutte contre Israël, considéré comme un allié de l’Occident dans le cadre de la guerre que nous menions contre lui ». La guerre arabe pour la destruction d’Israël n’était pas susceptible d’attirer beaucoup de soutiens dans les « mouvements pour la paix », satellites de l’Union Soviétique. Il fallait la redéfinir. L’époque était aux luttes de libération nationale. Il fut décidé que ce serait une lutte de libération nationale : celle du « peuple palestinien ». L’organisation s’appellerait OLP : Organisation de Libération de la Palestine. Des membres des services syriens et des services égyptiens participaient. Les Syriens ont proposé leur homme pour en prendre la tête, Ahmed Choukairy, et il fut choisi. Les Egyptiens avaient leur candidat : Yasser Arafat. Quand il apparut que Choukairy ne faisait pas l’affaire, il fut décidé de le remplacer par Arafat, et, explique Pacepa, celui-ci fut « façonné » : costume de Che Guevara moyen-oriental, barbe de trois jours de baroudeur. « Il fallait séduire nos militants et nos relais en Europe ».
Quarante et quelques années après, l’opération de séduction apparaît avoir été un net succès. Non seulement la « lutte de libération nationale du peuple palestinien » apparaît comme juste et légitime, mais nul ne met plus en doute l’existence d’un peuple palestinien. Personne n’ose dire que ce peuple a été inventé à des fins de propagande : personne ne semble vouloir s’en souvenir. Personne ne semble vouloir se souvenir de ce que la création du peuple palestinien était un outil de la lutte de l’Union Soviétique contre l’Occident dans les temps de la guerre froide.
Et de fait : la lutte de libération nationale inventée par le KGB a fait du chemin : il y a eu les accords d’Oslo et la création de l’Autorité Palestinienne en Judée-Samarie. Il y a eu l’émergence du Hamas, puis, après la chute de l’Union Soviétique, l’insertion d’une dimension islamiste dans le conflit. Il y a eu surtout, avec Oslo, la reconnaissance par un gouvernement israélien de l’invention du KGB, le « peuple palestinien », invention qui a débouchée sur les idées de « territoires palestiniens », « occupés » par Israël.

jeudi 10 novembre 2011

RIONS aux dépens du crypto-sioniste: Le crétin GUY MILLIERE ou "comment le peuple palestinien fut inventé)

Les judéo-sionistes sont aux abois et on les comprend. Ah! fini le temps où ils faisaient la pluie et le beau temps dans les médias. Alors pour contrer le livre de Shlomo Sand, ils ont écrit un livre-miroir.
A déguster suavement:


POURQUOI ET COMMENT LE PEUPLE PALESTINIEN FUT INVENTE


C’était, note Ion Mihai Pacepa, ancien chef de la Securitate roumaine, dans son livre The Kremlin Legacy, un jour de 1964, « nous avons été convoqués à une réunion conjointe du KGB, à Moscou ». Le sujet était d’importance : « il s’agissait de redéfinir la lutte contre Israël, considéré comme un allié de l’Occident dans le cadre de la guerre que nous menions contre lui ». La guerre arabe pour la destruction d’Israël n’était pas susceptible d’attirer beaucoup de soutiens dans les « mouvements pour la paix », satellites de l’Union Soviétique. Il fallait la redéfinir. L’époque était aux luttes de libération nationale. Il fut décidé que ce serait une lutte de libération nationale : celle du « peuple palestinien ». L’organisation s’appellerait OLP : Organisation de Libération de la Palestine. Des membres des services syriens et des services égyptiens participaient. Les Syriens ont proposé leur homme pour en prendre la tête, Ahmed Choukairy, et il fut choisi. Les Egyptiens avaient leur candidat : Yasser Arafat. Quand il apparut que Choukairy ne faisait pas l’affaire, il fut décidé de le remplacer par Arafat, et, explique Pacepa, celui-ci fut « façonné » : costume de Che Guevara moyen-oriental, barbe de trois jours de baroudeur. « Il fallait séduire nos militants et nos relais en Europe ».
Quarante et quelques années après, l’opération de séduction apparaît avoir été un net succès. Non seulement la « lutte de libération nationale du peuple palestinien » apparaît comme juste et légitime, mais nul ne met plus en doute l’existence d’un peuple palestinien. Personne n’ose dire que ce peuple a été inventé à des fins de propagande : personne ne semble vouloir s’en souvenir. Personne ne semble vouloir se souvenir de ce que la création du peuple palestinien était un outil de la lutte de l’Union Soviétique contre l’Occident dans les temps de la guerre froide.
Et de fait : la lutte de libération nationale inventée par le KGB a fait du chemin : il y a eu les accords d’Oslo et la création de l’Autorité Palestinienne en Judée-Samarie. Il y a eu l’émergence du Hamas, puis, après la chute de l’Union Soviétique, l’insertion d’une dimension islamiste dans le conflit. Il y a eu surtout, avec Oslo, la reconnaissance par un gouvernement israélien de l’invention du KGB, le « peuple palestinien », invention qui a débouchée sur les idées de « territoires palestiniens », « occupés » par Israël.
Nous sommes aujourd’hui dans un moment où la branche islamiste tient Gaza et où la branche issue de l’OLP, à Ramallah, essaie d’obtenir une reconnaissance internationale à l’ONU, et l’a obtenue à l’Unesco, avec le soutien de pays tels que la France.
Nous sommes dès lors, dirai-je, en un moment où le gouvernement d’Israël doit se rendre compte qu’il a laissé l’avantage à ses ennemis et qu’en acceptant que se dissémine leur narration de l’histoire, il les a laissé se doter d’une aura de légitimité dont ils n’auraient jamais du pouvoir se doter.
Nous sommes dans un moment où, à mes yeux, le gouvernement israélien devrait remettre l’histoire à sa place et la vérité à la sienne, et, depuis là, passer à l’offensive pour regagner le terrain perdu.
Deux vidéos ont été mises en ligne sur youtube par Danny Ayalon, vice-ministre des Affaires Etrangères, qui vont en ce sens et sont un excellent commencement : « The Truth About the Peace Process » (la vérité sur le processus de paix) et « The Truth About the West Bank »(la vérité sur la rive occidentale). Ces vidéos ont suscité la fureur de l’Autorité palestinienne, ce qui montre qu’elles ont visé juste.
Le petit livre que je viens de faire paraître va dans la même direction : il contient deux de mes textes et le premier texte traduit en français du grand écrivain américain David Horowitz. Nous n’usons pas de circonlocutions. Nous appelons un chat un chat, les dirigeants palestiniens des imposteurs et ceux que les médias occidentaux nomment « activistes » des assassins. Nous disons ce qui est : que le « peuple palestinien » a été inventé, que ce n’est pas une lutte de libération nationale, qu’il n’y a pas de « territoires palestiniens » et que les organisations palestiniennes sont des mouvements totalitaires et terroristes qui doivent être traités comme tels.
Et je réponds à l’avance à ceux qui nous traiteraient d’extrémistes : dire la vérité et rappeler les faits n’est pas extrémistes. C’est simplement dire la vérité et rappeler les faits.
A laisser se propager une fausse narration de l’histoire, on en arrive où nous en sommes.
Que l’OLP demande à être reconnue comme un Etat à l’ONU montre qu’une limite est atteinte. Que l’OLP soit admise comme Etat à part entière à l’UNESCO montre que la limite est franchie. Il est temps d’arrêter le délire. Il y a eu, déjà, beaucoup trop de morts. Cela suffit.
Guy Millière

La "démocratie" sioniste veut couper l'aide étrangère aux ONG israéliennes

Netanyahu backs laws to limit donations to Israeli human rights organizations
Bills seek to harm to human rights groups which relayed information to the Goldstone committee that followed IDF's Operation Cast Lead on Gaza.
By Jonathan Lis and Nir Hasson

Two bills restricting human rights organizations in Israel that were put on hold are now back on the legislative table. The proposed laws which would significantly curtail the ability of organizations to seek donations overseas will be brought to a vote next Sunday by the ministerial legislative committee.


Prime Minister Benjamin Netanyahu has announced this week that he supports legislation of these bills, and will back their handling and approval by the ministerial committee. These are legislative initiatives that were discussed by the ministerial committee last June. Their handling was frozen at the request of Minister Benny Begin (Likud ), so as to avoid international criticism of Israel ahead of the Palestinian attempt to gain statehood recognition at the United Nations in September.
The proposed bills seek to cause economic harm to human rights groups which relayed information to the special UN committee headed by Judge Goldstone following the IDF's Operation Cast Lead on the Gaza Strip..........(........)..............

SARKOZY rend compte au Congrès juif mondial

Sarkozy: "Israël n'a pas de meilleur partenaire sécuritaire que la France dans le dossier iranien" (Guysen.International.News)
Le président français Nicolas Sarkozy a promis de soutenir Israël dans le dossier nucléaire iranien lors d'une rencontre avec le Congrès juif mondial à l'Elysée, selon plusieurs sources. "Israël n'a pas de meilleur partenaire sécuritaire que la France quand il s'agit de l'Iran", a assuré Sarkozy devant les dirigeants juifs.

mercredi 9 novembre 2011

La société sioniste en état de fascisation avancée

Eh oui! Au début, c'était facile, on tapait sur les Arabes, l'ennemi héréditaire et irréductible, et on a créé une société occupante, avec ses délires expansionnistes, ses attitudes arrogantes et ses sentiments d'impunité et de supériorité.
La fascisation des esprits ne peut même plus tolérer une critique interne au sein de la société sioniste. Tout le monde au pas.

Israël: acte de vandalisme contre une responsable anticolonisation
Des graffitis menaçants imputés à des colons extrémistes ont été découverts dans la cage d'escalier d'un immeuble où vit une responsable du mouvement israélien anti-colonisation La Paix Maintenant, a indiqué mardi la police. "Des menaces de mort et des croix gammées accompagnées du slogan 'Il y a un prix' ont été peintes sur les murs de la cage d'escalier de l'immeuble où habite Hagit Ofran à Jérusalem", a affirmé le porte-parole de la police.

lundi 7 novembre 2011

VERS UNE NOUVELLE AVENTURE GUERRIERE SIONISTE ?

Le monde retient son souffle. Le monde entier accroché à la décision du petit empire sioniste.
Après avoir soumis le monde arabe à sa volonté, l'état sioniste veut élargir son influence au monde musulman, en particulier chiite, en s'attaquant à l'Iran.
Détenteur de 200 bombes nucléaires et défendu par l'immense arsenal américain, français et anglais, l'empire sioniste ne peut tolérer l'émergence d'une autre puissance régionale. Surtout si elle a le culot de ne pas se soumettre à la Pax Americana.
Jusqu'à quand va durer cette lamentable comédie? Et à quand le véritable réveil arabe?

vendredi 4 novembre 2011

UJFP et Amnesty International: Une expo sur les Bédouins du Néguev

L’UJFP, conjointement avec Amnesty International, organise une exposition de photos et une série de conférences avec des Bédouins du Néguev et de la Cisjordanie. L ’exposition aura lieu du 12 au 20 novembre à la Mairie du 2ème arrondissement, 8 rue de la Banque , 75002 Paris (M° Bourse). Un débat aura lieu avec la participation des Bédouins le mercredi 16 novembre à 19h30 dans la Salle Jean-Dame , 17 rue Léopold Bellan, 75002 Paris (M° Bourse). Ensuite, l’exposition se produira à Fontenay-sous-Bois (94), du 21 au 26 novembre, à la Halle Roublot , 95 rue Roublot, Fontenay-sous-Bois (RER Fontenay-sous-Bois, sortie boul. de Vincennes). Une conférence-débat avec des Bédouins est organisée le vendredi 25 novembre à 19 heures à la Halle Roublot. À 21h30, les personnes présentes auront droit à un concert avec Kamilia Joubran et Sandra Bessis à « Musiques au Comptoir » à la même adresse. La conférence et le concert sont organisés conjointement par l’UJFP et le Comité Palestine 94 Nord. Nous remercions la mairie du 2ème arrondissement de Paris (EELV) et celle de Fontenay (PCF) pour leur collaboration. La tournée se produira ensuite à Lyon, Marseille et Bordeaux. Par ailleurs, Irène Steinert, membre du Bureau national de l’UJFP, a écrit un article sur les Bédouins du Néguev, à qui l’État d’Israël nie les titres de propriété sur leurs maisons et leurs terres. Après avoir décrit la situation de cette population arabe dans le sud d’Israël, Irène trace l’évolution de la législation foncière d’Israël et son bras armé en la matière, le KKL. Vous trouverez cet article dans le fichier attaché .

jeudi 3 novembre 2011

Les sionistes mettent la "paix" à toutes les sauces.

A les entendre, les sionistes ne rêveraient que de paix, si on les laissait juste occuper l'espace vital qui leur revient de droit biblique.
Et revoici Rabin avec ses accords d'Oslo qui accordent officiellement la souveraineté sioniste sur 60% de la Cisjordanie et qui ont fait passer le nombre des colons de 150 000 à 550 000.
Avec la complicité aveugle des socialistes français.
Bertrand Delanoë, Maire de Paris, et Bernard Zilberg, président de la Maison Itshak Rabin, organisent une grande soirée d’hommage et pour la paix, à l’occasion du 16e anniversaire de la disparition d’Itshak Rabin, en présence de Yossi Gal, ambassadeur d’Israël en France.

La déchéance de l'Europe face à l'impérialisme sioniste

LES Européens ne font que bavasser et exprimer leurs "préoccupations" devant une politique coloniale menée avec brutalité et détermination pour éliminer ce qui reste de palestinien et un "processus de paix" comique et moribond.
Témoin encore cette posture totalement inopérante de Ashton qui donne en fait carte blanche à l'impérialisme sioniste et avalise ses conquêtes:
"La chef de la diplomatie de l'Union européenne Catherine Ashton a qualifié d'"inacceptable" le projet israélien de construire de nouveaux logements à Jérusalem-Est annexée, estimant qu'il allait à l'encontre des engagements d'Israël, dans un communiqué publié le 1er novembre 2011.
"Les colonies sont illégales du point de vue de la loi internationale", a souligné Mme Ashton avant d'appeler Israël à renoncer à ce projet de nouvelles constructions"

Inacceptables? et les sanctions? Ah pardon! les sanctions c'est pour les bougnoules qui ne se soumettent pas à l'Occident.

mercredi 2 novembre 2011

L'état sioniste donne des leçons de "morale et d'honnêteté éducatives" aux Palestiniens

ATTENTION: INFO PIQUEE DANS UN SITE SIONISTE:


UNESCO - L'admission de la Palestine est incompatible avec l'éducation à la haine dans les manuels scolaires palestiniens
par Laurent COHEN
L'Autorité palestinienne ne remplit pas les conditions morales requises pour devenir membre à part entière de l'UNESCO.

C'est ce qu'affirme l'Institut de surveillance pour la paix et la tolérance culturelle dans l'éducation (IMPACT-SE), selon lequel la " diabolisation d'Israël " imprègne encore en profondeur le système scolaire palestinien et, avant tout, les manuels destinés aux élèves.

Délégitimation d'Israël, négation du droit des juifs à vivre au sein d'un Etat souverain, révisionnisme historique, propos teintés d'antisémitisme (parfois issus de sources islamiques) – autant d'éléments mis en avant par IMPACT, au cours de son analyse des programmes scolaires dispensés dans les établissements sous contrôle de l'Autorité palestinienne.

Ainsi, outre les Territoires palestiniens eux-mêmes, la Jordanie, le Liban et la Syrie, les cartes de la région proche-orientale ne mentionnent jamais le nom, ni l'existence de l'Etat d'Israël.

mardi 1 novembre 2011

L'armée d'occupation sioniste reconstitue le stock des prisonniers palestiniens

Tandis que ses bombardements ont fait 12 morts dans la bande de Gaza, Israël met les bouchées doubles en Cisjordanie, pour essayer de compenser le nombre de prisonniers politiques palestiniens qu’il a été obligé de libérer. Un tribunal militaire vient de condamner ce lundi un avocat de Naplouse, membre du Fatah à 30 ans de prison.

Jamal Tirawi qui a été enlevé, le 25 mai 2007, de son domicile dans le camp de réfugiés de Balata à Naplouse, est un député du Fatah, élu en 2006.

Après avoir passé 4 ans et demi en prison, son procès ayant été reporté plus de 70 fois, il a été condamné lundi à 30 ans de prison, ayant été accusé d’être l’un des chefs de la branche militaire du Fatah.

Tribunaux illégaux, mascarade judiciaire, répression des opposants : l’occupant a de plus en plus de mal à cacher son visage de dictateur affolé.

CAPJPO-EuroPalestine