mardi 28 août 2012

L'étude de la shoa devient universelle et bien surveillée



Comment les écoles gèrent-elles le sujet de l'Holocauste dans le monde? Dans quelles régions du monde la Shoah fait-elle partie de l'enseignement? Un projet conduit par l'UNESCO et l'Institut de recherche internationale sur les manuels scolaires Georg Eckert répondra à ces questions. Le projet, intitulé «Statut international de l'éducation sur l'Holocauste, une cartographie mondiale des programmes et des manuels scolaires», permettra pour la première fois de comparer les enseignements de la Shoah dans les manuels scolaires et les programmes nationaux.
L'étude commencera par une évaluation des programmes scolaires de 195 pays, montrant où et dans quelle mesure la Shoah est inscrite dans le programme officiel. Le résultat prendra la forme d'une cartographie mondiale, illustrant les lieux où la Shoah est effectivement enseignée. Les enseignements de l'Holocauste sont-ils nuancés, complets et impartiaux ? Dans quels contextes apparaissent-ils? Y a-t-il des différences nationales et régionales entre eux? Afin d'étudier ces questions, les manuels scolaires de 20 pays représentatifs seront examinés qualitativement, de façon minutieuse, et comparés les uns aux autres. Les résultats de cette enquête mondiale sans précédent, et les recommandations qui en découleront, fourniront aux décideurs des politiques éducatives une base de réflexion sur laquelle les décisions futures concernant les programmes pourront s'appuyer…

Bernard-Henri Lévy: Le SAYAN préféré du MOSSAD


SAYAN YA SAYANIM par zapataguevara

BHL, alias MST, le champion des SAYANIM


SAYAN YA SAYANIM par zapataguevara

lundi 27 août 2012

L'expansion sioniste. Sans commentaire.


Le roi-caniche de Jordanie mérite un su-sucre de son maître sioniste

Des militants voulaient apporter du matériel scolaire aux enfants de Bethléem. La Jordanie et le régime sioniste les en ont empêchés.

"Les autorités jordaniennes et israéliennes ont empêché, dimanche 26 août 2012, une centaine de militants pro-palestiniens venus d'Europe et des Etats-Unis d'entrer en Israël.
L’un des autobus transportant les militants a été autorisé par les Jordaniens à traverser le point de passage Allenby reliant la Jordanie à la Cisjordanie occupée, mais les Israéliens leur ont demandé de rebrousser chemin. Le second bus a été empêché de traverser le pont par les autorités jordaniennes."

L'ARMEE SIONISTE TRIOMPHANTE


samedi 25 août 2012

LES COLLABEURS

ON TIRE ET ON PLEURE: LA DEVISE DE L'OCCUPANT SIONISTE

Les sionistes aiment bien montrer au monde combien l'occupation les fait souffrir. Car ils ont une bonne âme. Ils ramènent l'attention du monde, non pas vers les victimes de leurs exactions, mais vers eux-mêmes, créatures pures "obligées" de commettre des crimes indignes de leur statut moral. Comme disait Golda Meir: "Nous ne pardonnerons jamais aux Palestiniens de nous obliger à tuer leurs enfants".

Dans un livre noir, l’ONG Breaking the Silence a compilé des témoignages de militaires sur les violences et les violations des droits humains que subissent les enfants palestiniens.

«Les enfants palestiniens sortaient de l’école à la fin de leur journée, rentraient directement dans leurs maisons et faisaient beaucoup de bruit avec leurs pétards. C’est absurde, je ne sais pas où notre stupide commandant de bataillon est allé chercher cette idée : nous avons commencé à chasser les enfants sur nos patrouilles. (…) L’un d’eux était vraiment petit. Peut-être quatre ou cinq ans. Un gamin vraiment tout petit, avec son frère. Peut-être même qu’il était à la maternelle… Et vous vous livrez sur lui à une fouille corporelle. Sur lui et sur son frère, à peine plus âgé. (…) Incroyable. Je me suis senti tellement immoral, je me suis senti tellement inhumain… » Cette invraisemblable scène se déroule à Hebron. Elle est racontée par un sous-officier de l’armée israélienne. Son témoignage a été recueilli par l’ONG Breaking the Silence (briser le silence), qui collecte, depuis plusieurs années, des récits de militaires ayant servi dans les territoires occupés. Ces milliers d’heures d’entretiens, filmés ou retranscrits, attestent de la barbarie de l’occupation, des crimes de guerre jusqu’à l’humiliation ordinaire que subissent les Palestiniens au passage des check-points. Dans un nouveau livre noir, l’ONG a compilé des témoignages accablants sur les violences et les graves violations des droits humains dont les enfants palestiniens sont la cible. Suspicion permanente, arrestations arbitraires, maltraitances physiques et même tirs à balles réelles n’épargnent pas les mineurs, selon ces témoignages de militaires israéliens.

« Ces témoignages éclairent la réalité de la vie quotidienne des enfants palestiniens et d’une jeunesse qui vit sous l’occupation israélienne, écrivent les auteurs de ce rapport. Les témoins dépeignent une routine dans laquelle les mineurs palestiniens, souvent âgés de moins de dix ans, sont traités d’une façon qui fait fi de leur jeune âge. En pratique, ils sont perçus par les soldats et par l’institution militaire comme pouvant être soumis aux mêmes traitements que les adultes. La violence physique, accompagnée de harcèlement et d’humiliations, est souvent exercée contre ces enfants, de façon arbitraire. »

de jeunes vies traumatisées

Au fil des témoignages bruts rassemblés chaque année par Breaking the Silence, les enfants sont omniprésents. Ils subissent, en première ligne, le traumatisme que représente la fouille ou la destruction d’une maison par l’armée israélienne. Un ­capitaine décrit ainsi la terreur d’une jeune fratrie lors d’une perquisition : « J’entre dans une maison, il y a là une femme (…) Je rentre et je lui demande : “Où est l’homme de la maison ?” Personne ne comprend, personne. Puis je vois un matelas recouvert d’une couverture. Des tremblements l’agitent. Et je… je ne sais pas, peut-être qu’il se cache là-dedans. Je demande à mon soldat : “Allez vite voir ce qu’il y a sous le lit” et il essaie de tirer la couverture, et non, c’est… Je les compte, ils sont huit – huit enfants serrés ensemble, morts de frayeur. Ils se cachent les uns derrière les autres, me dévisagent, comme si l’instant d’après j’allais leur faire je ne sais quoi (…) Je suis sorti de là en état de choc. » Mais que pèse la terreur d’un enfant quand, au nom de la sécurité, on peut tout justifier ?

Rosa Moussaoui

jeudi 23 août 2012

L'occupant sioniste veut renvoyer son caniche MAHMOUD ABBAS

Le "président" palestinien a beau se coucher et ramper devant son maître sioniste, rien n'y fait, celui-ci ne le trouve pas totalement docile. Il est devenu un "obstacle à la paix" (sic). Allez! Hop! Dans les poubelles de l'histoire!

JERUSALEM - Le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman a appelé le Quartette pour le Proche-Orient à intervenir pour que les Palestiniens tiennent des élections en vue d'écarter selon lui le président Mahmoud Abbas et relancer le processus de paix.
Dans une lettre adressée mardi au Quartette (Russie, ONU, Union européenne, Etats-Unis), dont l'AFP a obtenu copie, M. Lieberman affirme que le président de l'Autorité palestinienne semble indifférent ou incapable (...) de parvenir à un accord qui permettrait de mettre fin au conflit israélo-palestinien.
Il est temps de considérer une solution créative, hors des sentiers battus, pour renforcer la direction palestinienne, écrit le ministre ultranationaliste.
Des élections générales devraient être tenues et une nouvelle direction palestinienne, légitime et nous l'espérons réaliste, devrait être élue, ajoute-t-il en soulignant que des élections auraient dû se tenir en 2010 et ont depuis été reportées à maintes reprises.
Les négociations directes entre Israël et les Palestiniens sont interrompues depuis septembre 2010 et la communauté internationale fait depuis en vain pression pour les ramener à la table des négociations.
Dans une déclaration à l'AFP, le négociateur palestinien Saëb Erakat a rejeté la déclaration du ministre israélien qui ressemble selon lui aux campagnes lancées par l'ancien Premier ministre Ariel Sharon contre le dirigeant Yasser arafat et s'apparente à une incitation au meurtre.
Il a indiqué avoir contacté le Quartette pour que cette campagne diffamatoire s'arrête, celui-ci sachant très bien selon M. Erakat que le président Abbas veut mettre fin à la division dans les rangs palestiniens et organiser des élections législatives et présidentielle.
Dans sa lettre visant selon lui à prouver la bonne volonté d'Israël (...) dans le but de ramener nos voisins à la table des négociations directes, le chef de la diplomatie israélienne a affirmé qu'Israël avait fait plusieurs gestes significatifs à l'égard des Palestiniens au cours des derniers mois.
Il a évoqué des gestes visant à améliorer le système fiscal de l'Autorité palestinienne, augmenter ses revenus et soutenir l'économie palestinienne.
Malheureusement, en dépit de ces initiatives, nous ne voyons aucune volonté ou attitude positive de la part de l'Autorité palestinienne, a affirmé M. Lieberman dans sa lettre adressée à la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, au ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, à la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton et au secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon.
Il a accusé le président de l'Autorité palestinienne de rendre Israël responsable des délais dans le processus (de paix) tout en tentant de soutirer des avantages sans négociation, par le chantage et des tentatives d'internationaliser le conflit.
En vertu de l'accord de réconciliation nationale signé le 27 avril 2011 entre le Fatah et le Hamas, les deux gouvernements palestiniens rivaux en Cisjordanie et à Gaza devaient céder la place à un exécutif transitoire non partisan chargé d'organiser des élections générales dans un délai d'un an, mais les principales clauses en sont restées lettre morte et les échéances constamment repoussées.
(©AFP / 22 août 2012 13h23)

samedi 18 août 2012

IRAN: Le régime sioniste s'arroge le privilège des agressions préventives

Nous assistons à un débat surréaliste, entretenu par des médias aux ordres, et des gouvernements complices. Quelles seraient les modalités d'une attaque sioniste contre l'Iran et quels seraient les risques pour ce pays? Et tous les "experts" d'exprimer leurs avis, et les gouvernants leurs positions d'attentisme et de prudence.

Dans AUCUN média, n'est soulevée la question de la légitimité et de la légalité d'une telle agression. Comme s'il était acquis et admis que le régime sioniste établisse les règles de droit qui lui conviennent. Alors même que cet Etat depuis sa création, par la force et la violence, viole toutes les résolutions internationales, et en premier lieu, celle déjà de 1949, demandant le retour des réfugiés palestiniens victimes d'un nettoyage ethnique quasi intégral.

L'Iran n'a fait la guerre à aucun voisin, n'occupe aucune terre étrangère. On lui prête des déclarations agressives inventées par les officines sionistes.

Alors qu'on ne compte plus les agressions sionistes, les confiscations de terres palestiniennes, les ratonnades, l'apartheid en Cisjordanie, les destructions de maisons et de puits, les humiliations aux barrages, les arrestations arbitraires, les cours de "justice" militaires, etc.

Mais Israël A DECIDE que l'Iran ne devait pas avoir la technologie nucléaire. Une bombe? Et pourquoi pas? Le régime sioniste dispose au bas mot de 6 sous marins fournis par l'Allemagne et capables d'envoyer des dizaines de missiles à multiples ogives nucléaires, sans compter les avions et les missiles sol-sol. Mais il veut être le seul MAITRE de la région et dicter sa politique aux voisins, avec la complicité des régimes sunnites, ces présidents et roitelets arabes qui ont abandonné toute dignité, et tout projet de développement réel, pour se maintenir au pouvoir, sous la protection de leur saigneur sioniste.

mercredi 15 août 2012

La "justice" sioniste d'occupation

Un soldat de la brigade Givati, mis en cause dans le rapport Goldstone pour avoir ciblé et tué à Gaza deux femmes qui hissaient un drapeau blanc, vient d’être condamné à 45 jours de prison par un tribunal israélien. Cela ne coûte vraiment pas cher de faire des cartons sur les civils palestiniens !

Ce soldat, qui n’est pas nommé par la presse israélienne pleine de discrétion, a tué Ria Abu Hajaj, 64 ans, et sa fille Majda, 37 ans, le 4 janvier 2009, lors du premier jour de l’offensive terrestre qui a suivi les bombardements de la bande de Gaza.

Après un accord entre son avocat et le juge, ce soldat a été condamné pour .... "utilisation illégale d’armes".

Sans commentaires. D’ailleurs nos gouvernants et médias n’en feront pas, rassurez-vous.

Ils pourraient être accusés de vouloir "déligitimer" Israël !

"Une seule balle : deux morts"

"Plus c’est petit, plus c’est méritoire"

T.Shirts arborés dans la rue, en Israël par des soldats.

Qui incite à la haine et à la violence ?

CAPJPO-EuroPalestine