Ce blog est par nature progressiste, destiné à démythifier Israël et à contrer sa propagande. Ouvert aux débats, aux échanges, et à toutes contributions allant dans ce sens.
Cela me gêne qu'Emmanuel Ratier cherche à décrédibiliser les révolutions arabes. Je ne vois pas quel aurait été l'intérêt de l'occident de déstabiliser un Moubarak ou un Ben Ali qui était aux ordres et, pour Ben Ali en tout cas, qui offrait des vacances de rêves aux politiques occidentaux de l'UMP comme du PS. Des amis tunisien me disent que le Mossad avait tout un immeuble à Tunis pour ses activités, sous Ben Ali.
Les dictatures arabes sont rejetées par leur peuple, c'est clair. Même en Syrie, si ce qui se passe aujourd'hui est compliqué, il serait gonflé de nier qu'il y ait eu au départ, au moins une partie de la population qui voulait se débarrasser d'Assad. Ensuite des pays étranger profitent de la crise pour intervenir selon leurs intérêts, là comme ailleurs, c'est certain. Mais les oppositions aux dictateurs arabes elles n'ont pas besoin des Etats-Unis ou de la France pour exister.
Cette position d'Emmanuel Ratier, que je comprends mal, m'amène du coup à m'interroger sur le reste de ses propos...
Bonjour,
RépondreSupprimerCela me gêne qu'Emmanuel Ratier cherche à décrédibiliser les révolutions arabes. Je ne vois pas quel aurait été l'intérêt de l'occident de déstabiliser un Moubarak ou un Ben Ali qui était aux ordres et, pour Ben Ali en tout cas, qui offrait des vacances de rêves aux politiques occidentaux de l'UMP comme du PS. Des amis tunisien me disent que le Mossad avait tout un immeuble à Tunis pour ses activités, sous Ben Ali.
Les dictatures arabes sont rejetées par leur peuple, c'est clair.
Même en Syrie, si ce qui se passe aujourd'hui est compliqué, il serait gonflé de nier qu'il y ait eu au départ, au moins une partie de la population qui voulait se débarrasser d'Assad. Ensuite des pays étranger profitent de la crise pour intervenir selon leurs intérêts, là comme ailleurs, c'est certain. Mais les oppositions aux dictateurs arabes elles n'ont pas besoin des Etats-Unis ou de la France pour exister.
Cette position d'Emmanuel Ratier, que je comprends mal, m'amène du coup à m'interroger sur le reste de ses propos...