mercredi 15 août 2012

La "justice" sioniste d'occupation

Un soldat de la brigade Givati, mis en cause dans le rapport Goldstone pour avoir ciblé et tué à Gaza deux femmes qui hissaient un drapeau blanc, vient d’être condamné à 45 jours de prison par un tribunal israélien. Cela ne coûte vraiment pas cher de faire des cartons sur les civils palestiniens !

Ce soldat, qui n’est pas nommé par la presse israélienne pleine de discrétion, a tué Ria Abu Hajaj, 64 ans, et sa fille Majda, 37 ans, le 4 janvier 2009, lors du premier jour de l’offensive terrestre qui a suivi les bombardements de la bande de Gaza.

Après un accord entre son avocat et le juge, ce soldat a été condamné pour .... "utilisation illégale d’armes".

Sans commentaires. D’ailleurs nos gouvernants et médias n’en feront pas, rassurez-vous.

Ils pourraient être accusés de vouloir "déligitimer" Israël !

"Une seule balle : deux morts"

"Plus c’est petit, plus c’est méritoire"

T.Shirts arborés dans la rue, en Israël par des soldats.

Qui incite à la haine et à la violence ?

CAPJPO-EuroPalestine

2 commentaires:

  1. Tirer sur des femmes avec un drapeau blanc même l'armée de "l'affreux Bachar" ne l'a pas encore fait

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  2. Il ne faut pas s'attendre à moins. Les "soldats" sionistes, tous le monde le sait, sont des criminels de guerre.
    Ces crapules sanguinaires démolissent des maisons et ensevelissent ses habitants vivants sous les gravats, arrachent des oliviers, volent des bijoux, font main basse sur des dizaines de land-rovers (comme en témoigne le journal Ha'aretz). Ces nervis, armés jusqu'aux oreilles, se jouent de terroriser des enfants, de torturer les prisonniers (loin des regards), d'utiliser des femmes et des enfants comme des boucliers humains. Ils ne s'en veulent pas de gifler des femmes âgées, de molester des journalistes, d'entendre une petite fille pleurer toute la nuit à coté des cadavres de ses parents (comme à Jénine)... Lorsqu'on a la caution des yankees on ne s'encombre pas de scrupules. Du reste, la télévision et la presse ne peuvent être que là où on leur permet d'aller. La guerre la plus sordide est celle qui se déroule à l'écart et à l'insu des médias.

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