DAVID GROSSMAN ou l’arnaque du « sioniste progressiste »
Voici une illustration de la propagande insidieuse du sionisme humaniste, comme si cela pouvait exister. Un SIONISTE qui ne reconnaît pas le nettoyage ethnique de 1948 et n’en tire pas les conséquences, un SIONISTE qui « critique » l’occupation et la colonisation tout en condamnant les soldats qui refusent d’y participer, un SIONISTE qui ap
Voici une illustration de la propagande insidieuse du sionisme humaniste, comme si cela pouvait exister. Un SIONISTE qui ne reconnaît pas le nettoyage ethnique de 1948 et n’en tire pas les conséquences, un SIONISTE qui « critique » l’occupation et la colonisation tout en condamnant les soldats qui refusent d’y participer, un SIONISTE qui ap
plaudit
des 2 mains les bombardements meurtriers sur le Liban et sur Gaza
(avant de demander leur arrêt 24 heures avant leur fin, info fournie par
le gouvernement, pour lui conserver sa crédibilité internationale).
Voilà le type de sioniste « progressiste » qu’est David Grossman. Mais
tout cela a un objectif précis : Maintenir l’illusion qu’il existe en
Israël un camp de la paix et que ce pays est traversé par le dilemme
atroce de la terre contre la paix.
Or toute cette propagande se perpétue en France et dans le monde grâce aux médias, et aux sayanim qui y sont infiltrés, largement acquis à l’idéologie sioniste et qui ne critiquent les excès de l’impérialisme sioniste que du bout des lèvres.
Une nouvelle illustration cette semaine avec les articles consacrés à cet écrivain et qui essaient de nous faire pleurer sur le drame des sionistes qui perdent leurs enfants soldats dans des guerres impériales.
Dernier exemple en date : L’article de Libération (propriété de Rotschild et de BHL) à la gloire de cet individu.
« David Grossman à voix raccourcies » Par MATHIEU LINDON, 17 octobre 2012
Or toute cette propagande se perpétue en France et dans le monde grâce aux médias, et aux sayanim qui y sont infiltrés, largement acquis à l’idéologie sioniste et qui ne critiquent les excès de l’impérialisme sioniste que du bout des lèvres.
Une nouvelle illustration cette semaine avec les articles consacrés à cet écrivain et qui essaient de nous faire pleurer sur le drame des sionistes qui perdent leurs enfants soldats dans des guerres impériales.
Dernier exemple en date : L’article de Libération (propriété de Rotschild et de BHL) à la gloire de cet individu.
« David Grossman à voix raccourcies » Par MATHIEU LINDON, 17 octobre 2012
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