IL SERAIT TEMPS QUE LA PALESTINE METTE FIN AUX ACCORDS D'OSLO QUI ONT PERMIS AUX COLONS SIONISTES EN CISJORDANIE OCCUPEE DE PASSER DE 150 000 A 550 000.
La réconciliation inter-palestinienne, avec l'arrivée du Hamas dans l'OLP, commence à avoir des répercussions. L’Autorité palestinienne songe à remettre en cause la reconnaissance de l’Etat d'Israël. A Ramallah on est plus que jamais divisés, tandis qu’en Israël on s'inquiète de cette régression dans le processus de paix.
Déclaration coup de tonnerre à Ramallah : « Les Palestiniens pourraient annuler les accords signés jusqu'a présent entre l'OLP et Israël ». La menace, qui vise directement les accords d'Oslo, est signée Mohamed Shtayeh, l’un des cadres du Fatah mais aussi l'un des négociateurs avec Israël.
« La reconnaissance d'Israël en 1993, n'était pas juste. L'OLP a reconnu Israël au sens géographique du terme, mais Israël n'a pas reconnu la Palestine au sens géographique, seulement en tant qu'institution. Israël a seulement reconnu l'OLP. Nous demandons maintenant une reconnaissance mutuelle », a-t-il ajouté.
Ce blog est par nature progressiste, destiné à démythifier Israël et à contrer sa propagande. Ouvert aux débats, aux échanges, et à toutes contributions allant dans ce sens.
mercredi 28 décembre 2011
mardi 27 décembre 2011
Les mystico-sionistes réhabilitent l'assassinat (VIDEO)
http://www.youtube.com/watch?v=jZ1E7uu42AM&feature=share
Le rabbin Yitzhak Shapiro dirige l'Od Yosef Chai Yeshiva dans la colonie de Yitzhar. Il est l'auteur de "La Torah du roi". Il y permet l'assassinat des bébés et des enfants menaçant Israël. Les juifs peuvent tuer les Gentils (goy) qui menacent Israel.
« Il est permis de tuer les Justes parmi des Nations, même si ils ne sont pas responsables de la situation menaçante. [...] Si nous tuons un païen qui a péché ou violé l'un des sept commandements -- parce que nous nous soucions des commandements -- il n'y a rien de mal à l'assassiner ».
Plusieurs rabbins éminents, dont le rabbin Yithak Ginzburg et le rabbin Yaakov Yosef, ont recommandé le livre à leurs étudiants et disciples.
Le rabbin Yitzhak Shapiro dirige l'Od Yosef Chai Yeshiva dans la colonie de Yitzhar. Il est l'auteur de "La Torah du roi". Il y permet l'assassinat des bébés et des enfants menaçant Israël. Les juifs peuvent tuer les Gentils (goy) qui menacent Israel.
« Il est permis de tuer les Justes parmi des Nations, même si ils ne sont pas responsables de la situation menaçante. [...] Si nous tuons un païen qui a péché ou violé l'un des sept commandements -- parce que nous nous soucions des commandements -- il n'y a rien de mal à l'assassiner ».
Plusieurs rabbins éminents, dont le rabbin Yithak Ginzburg et le rabbin Yaakov Yosef, ont recommandé le livre à leurs étudiants et disciples.
lundi 26 décembre 2011
Les sionistes menacent de suspendre les "négociations de paix" bidon! CHICHE !!!
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a manifesté dimanche 25 décembre 2011 son refus de mener des négociations avec l'Autorité palestinienne si le gouvernement émanant de celle-ci comprend des représentants du Hamas, a rapporté la radio publique israélienne.
"Benjamin Netanyahu a déclaré que si le Hamas rallie le gouvernement palestinien, Israël refusera de mener des négociations de paix avec l'Autorité palestinienne", a indiqué la radio, qui a précisé que le Premier ministre a tenu ces propos durant la conférence annuelle des ambassadeurs israéliens à Jérusalem. De même source, M. Netanyahu a ajouté que "les progrès dans les pourparlers de paix (avec les Palestiniens) devront tenir compte des besoins sécuritaires d'Israël qui deviennent plus importants au vu de la situation régionale".
"Benjamin Netanyahu a déclaré que si le Hamas rallie le gouvernement palestinien, Israël refusera de mener des négociations de paix avec l'Autorité palestinienne", a indiqué la radio, qui a précisé que le Premier ministre a tenu ces propos durant la conférence annuelle des ambassadeurs israéliens à Jérusalem. De même source, M. Netanyahu a ajouté que "les progrès dans les pourparlers de paix (avec les Palestiniens) devront tenir compte des besoins sécuritaires d'Israël qui deviennent plus importants au vu de la situation régionale".
vendredi 23 décembre 2011
La créature sioniste se retourne contre ses créateurs et soutiens européens
Israël irrité par une critique européenne de sa politique de colonisation
La passe d'armes est vive entre Israël et quatre pays européens, la France, la Grande-Bretagne, l'Allemagne et le Portugal. Ces derniers ont signé une déclaration commune critiquant la poursuite de la colonisation israélienne, s’attirant une réponse cinglante de l’Etat hébreu.
Avec notre correspondant à Jérusalem, Nicolas Falez
Depuis que la Palestine a été admise comme membre à part entière de l’Unesco, fin octobre 2011, Israël a répondu en annonçant la construction de plus de 3 000 logements dans les colonies juives de Cisjordanie et de Jérusalem-Est.
Dimanche dernier, le lancement d’une série d’appels d’offre par Israël a décidé Paris, Londres, Berlin et Lisbonne de signer une déclaration commune dans laquelle ces quatre membres du Conseil de sécurité de l’ONU se disent « consternés » et demandent à Israël de revenir sur sa décision. Les Européens s’émeuvent également de la recrudescence d’exactions commises par les colons israéliens.
Réponse de l’Etat hébreu ce mercredi : la France, la Grande-Bretagne, l’Allemagne et le Portugal feraient mieux de se concentrer sur l’agenda international, à commencer par la situation en Syrie. Le ton du communiqué est acide, et il conclut en substance au manque de courage des quatre Européens.
Cet échange particulièrement musclé intervient après d’autres signes d’agacement réciproque entre Israël et certains dirigeants européens. Il y a quelques semaines, les médias avaient ainsi diffusé des propos de Nicolas Sarkozy qualifiant de « menteur » le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou.
Les Etats-Unis ont réagi en expliquant que « crier sur les toits au Conseil de sécurité ne changera pas la situation sur le terrain ».
La passe d'armes est vive entre Israël et quatre pays européens, la France, la Grande-Bretagne, l'Allemagne et le Portugal. Ces derniers ont signé une déclaration commune critiquant la poursuite de la colonisation israélienne, s’attirant une réponse cinglante de l’Etat hébreu.
Avec notre correspondant à Jérusalem, Nicolas Falez
Depuis que la Palestine a été admise comme membre à part entière de l’Unesco, fin octobre 2011, Israël a répondu en annonçant la construction de plus de 3 000 logements dans les colonies juives de Cisjordanie et de Jérusalem-Est.
Dimanche dernier, le lancement d’une série d’appels d’offre par Israël a décidé Paris, Londres, Berlin et Lisbonne de signer une déclaration commune dans laquelle ces quatre membres du Conseil de sécurité de l’ONU se disent « consternés » et demandent à Israël de revenir sur sa décision. Les Européens s’émeuvent également de la recrudescence d’exactions commises par les colons israéliens.
Réponse de l’Etat hébreu ce mercredi : la France, la Grande-Bretagne, l’Allemagne et le Portugal feraient mieux de se concentrer sur l’agenda international, à commencer par la situation en Syrie. Le ton du communiqué est acide, et il conclut en substance au manque de courage des quatre Européens.
Cet échange particulièrement musclé intervient après d’autres signes d’agacement réciproque entre Israël et certains dirigeants européens. Il y a quelques semaines, les médias avaient ainsi diffusé des propos de Nicolas Sarkozy qualifiant de « menteur » le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou.
Les Etats-Unis ont réagi en expliquant que « crier sur les toits au Conseil de sécurité ne changera pas la situation sur le terrain ».
jeudi 22 décembre 2011
Sarkozy le sioniste s'aplatit un peu plus devant le CRIF
Le président de la République Nicolas Sarkozy a remis au directeur général du CRIF Haïm Musicant les insignes d’officier dans l’Ordre du Mérite, mercredi 21 décembre 2011 à l’Elysée.
« Vous avez œuvré auprès de Richard Prasquier pour faire entendre la voix des Français juifs dans le débat public et les représenter dans l’espace public ». Le chef de l’Etat a ajouté : « Vous savez très bien que pour la France, la sécurité d’Israël n’est pas négociable. Si Israël est menacé, la France sera à ses côtés. Les perspectives actuelles dans la région sont bien peu encourageantes. Mais la France ne renonce pas au dialogue. »
« Vous avez œuvré auprès de Richard Prasquier pour faire entendre la voix des Français juifs dans le débat public et les représenter dans l’espace public ». Le chef de l’Etat a ajouté : « Vous savez très bien que pour la France, la sécurité d’Israël n’est pas négociable. Si Israël est menacé, la France sera à ses côtés. Les perspectives actuelles dans la région sont bien peu encourageantes. Mais la France ne renonce pas au dialogue. »
mercredi 21 décembre 2011
Ovadia Yossef: la plus haute autorité raciste d'Israël
Le rabbin, Ovadia Yossef
Il est très facile de faire passer les insultes proférées par Ovadia Yossef pour le énième dérapage d’un vieillard. Cette excuse est trop commode. De même, le fait qu’il s’en prenne à tout le monde et pas seulement aux Arabes ne le dégage d’aucune responsabilité. Ovadia Yossef, nous dit-on, est un sage de la Torah, le dernier grand maître de sa génération, vénéré par de nombreux laïcs. Cet homme, nous explique-t-on, connaît par cœur les livres sacrés et maîtrise toutes les subtilités de la loi judaïque. Fort bien. Pourtant, les discours prononcés à la synagogue Yazdi, à Jérusalem, frappent par leur pauvreté.
C’est ça, le maître de la Torah ? C’est ça, le chef d’un mouvement politique qui pèse sur les décisions de l’Etat d’Israël ? C’est ça, l’homme chez qui tous les dirigeants israéliens, à de rares exceptions, se précipitent pour obtenir quelque insigne faveur ? Cette personnalité qui pèse tant sur l’agenda israélien n’est pourtant qu’un raciste, doublé d’un misogyne patenté. Après l’ouragan qui a frappé La Nouvelle-Orléans, il a déclaré : “Là-bas, ce sont des Nègres. Les Nègres ont-ils apporté la Torah ? Yallah, un ouragan s’est abattu sur eux et les a noyés, parce qu’ils n’ont pas de dieu.” Il s’est moqué d’Obama en le traitant d’“esclave”. A une autre occasion, il a décrété que “marcher entre deux femmes, c’est marcher entre deux ânes”. A propos de Shulamit Aloni [dirigeante historique de la gauche pacifiste et laïque], il a déclaré : “Le jour où elle mourra, il faudra organiser un festin.” Les Noirs et les femmes ne sont pas les seuls à faire les frais de son éloquence. Si un religieux comme [le ministre de la Justice] Yaakov Neeman a dû subir ses anathèmes, ce n’est rien à côté de Yossi Sarid [ancien dirigeant de la gauche], à propos duquel Yossef a déclaré : “C’est le mal incarné. Il faut l’extirper de ce monde, le pendre haut et court.” Son sermon sur Mahmoud Abbas, le président de l’Autorité palestinienne, et ses amis s’inscrit donc dans une suite logique : “Puissent-ils disparaître de la Terre. Puisse Dieu envoyer un fléau aux Palestiniens, ces enfants d’Ismaël, ces vils ennemis d’Israël.” Au moins, voilà les Palestiniens en excellente compagnie.
Il est très facile de faire passer les insultes proférées par Ovadia Yossef pour le énième dérapage d’un vieillard. Cette excuse est trop commode. De même, le fait qu’il s’en prenne à tout le monde et pas seulement aux Arabes ne le dégage d’aucune responsabilité. Ovadia Yossef, nous dit-on, est un sage de la Torah, le dernier grand maître de sa génération, vénéré par de nombreux laïcs. Cet homme, nous explique-t-on, connaît par cœur les livres sacrés et maîtrise toutes les subtilités de la loi judaïque. Fort bien. Pourtant, les discours prononcés à la synagogue Yazdi, à Jérusalem, frappent par leur pauvreté.
C’est ça, le maître de la Torah ? C’est ça, le chef d’un mouvement politique qui pèse sur les décisions de l’Etat d’Israël ? C’est ça, l’homme chez qui tous les dirigeants israéliens, à de rares exceptions, se précipitent pour obtenir quelque insigne faveur ? Cette personnalité qui pèse tant sur l’agenda israélien n’est pourtant qu’un raciste, doublé d’un misogyne patenté. Après l’ouragan qui a frappé La Nouvelle-Orléans, il a déclaré : “Là-bas, ce sont des Nègres. Les Nègres ont-ils apporté la Torah ? Yallah, un ouragan s’est abattu sur eux et les a noyés, parce qu’ils n’ont pas de dieu.” Il s’est moqué d’Obama en le traitant d’“esclave”. A une autre occasion, il a décrété que “marcher entre deux femmes, c’est marcher entre deux ânes”. A propos de Shulamit Aloni [dirigeante historique de la gauche pacifiste et laïque], il a déclaré : “Le jour où elle mourra, il faudra organiser un festin.” Les Noirs et les femmes ne sont pas les seuls à faire les frais de son éloquence. Si un religieux comme [le ministre de la Justice] Yaakov Neeman a dû subir ses anathèmes, ce n’est rien à côté de Yossi Sarid [ancien dirigeant de la gauche], à propos duquel Yossef a déclaré : “C’est le mal incarné. Il faut l’extirper de ce monde, le pendre haut et court.” Son sermon sur Mahmoud Abbas, le président de l’Autorité palestinienne, et ses amis s’inscrit donc dans une suite logique : “Puissent-ils disparaître de la Terre. Puisse Dieu envoyer un fléau aux Palestiniens, ces enfants d’Ismaël, ces vils ennemis d’Israël.” Au moins, voilà les Palestiniens en excellente compagnie.
mardi 20 décembre 2011
La propagande sioniste tente de salir Salh Hamouri en lui prêtant des propos mensongers
Le MRAP indigné par la campagne de haine à l'encontre de Salah Hamouri
Le MRAP est indigné par les graves accusations tenues à l'encontre de Salah Hamouri à peine deux jours après sa libération par certains médias israéliens et repris par Richard Pasquier, le Président du CRIF.
Ils accusent Salah Hamouri d'avoir déclaré à l'agence Reuters « Le rabbin Yossef Ovadia mérite la mort ». Salah Hamouri, mais aussi les journalistes de l’agence Reuters qui l’ont interviewé, démentent, enregistrement à l’appui, de tels propos.
Cela n'empêche pas le discours haineux à l'encontre de Salah Hamouri et de sa famille : « Denise Hamouri peu être fière d’avoir mis au monde un assassin ». Ou encore : « Pour bien des Israéliens c’est Hamouri qui mérite de mourir. »
Ces propos ignobles sont une atteinte à la dignité de Salah Hamouri et de sa famille. Le MRAP demande aux autorités françaises de prendre toutes les mesures pour assurer la protection de Salah Hamouri, ressortissant français.
Le comité de soutien à Salah Hamouri, dans un communiqué saluant sa libération, déclarait que désormais Salah était « sous la protection de son Comité de soutien et aussi de l’opinion publique.» Le MRAP soutient cet appel à la vigilance de chacun et chacune.
Paris le 20 décembre 2011
Le MRAP est indigné par les graves accusations tenues à l'encontre de Salah Hamouri à peine deux jours après sa libération par certains médias israéliens et repris par Richard Pasquier, le Président du CRIF.
Ils accusent Salah Hamouri d'avoir déclaré à l'agence Reuters « Le rabbin Yossef Ovadia mérite la mort ». Salah Hamouri, mais aussi les journalistes de l’agence Reuters qui l’ont interviewé, démentent, enregistrement à l’appui, de tels propos.
Cela n'empêche pas le discours haineux à l'encontre de Salah Hamouri et de sa famille : « Denise Hamouri peu être fière d’avoir mis au monde un assassin ». Ou encore : « Pour bien des Israéliens c’est Hamouri qui mérite de mourir. »
Ces propos ignobles sont une atteinte à la dignité de Salah Hamouri et de sa famille. Le MRAP demande aux autorités françaises de prendre toutes les mesures pour assurer la protection de Salah Hamouri, ressortissant français.
Le comité de soutien à Salah Hamouri, dans un communiqué saluant sa libération, déclarait que désormais Salah était « sous la protection de son Comité de soutien et aussi de l’opinion publique.» Le MRAP soutient cet appel à la vigilance de chacun et chacune.
Paris le 20 décembre 2011
samedi 17 décembre 2011
Israel au ban des nations
Voici la traduction de l’article de ce magazine qui, comme son nom le suggère, a pour objet général de faire la promotion d’Israël (traduction CAPJPO-EuroPalestine)
Titre : La marque « Israël » est la plus mauvaise du monde (par la rédaction d’Israel Today)
Comme si le statut d’Israël sur la scène mondiale n’était pas déjà assez dégradé, voilà qu’une nouvelle étude, publiée mercredi aux Etats-Unis nous apprend que son image est la pire de tous les pays à la surface de la planète. L’étude, appelée Indices des Marques Nationales (National Brands Index, NBI), a été dirigée par un conseiller du gouvernement américain, Simon Anholt, et conduite par la société d’études de marchés GMI (Global Market Insite Inc.). Ses conclusions sont sans appel : Israël est bon dernier, en ce qui concerne la perception, par le public, de son image.
Ont été interrogés 25.903 consommateurs de d’Israël et de 35 autres pays, à qui il a été demandé de noter chacun des pays étrangers (35, donc) au regard de six critères : « Investissement et Immigration », « Exportations », « Culture et Patrimoine », « Population », « Gouvernance », et enfin « Tourisme ». Le NBI est le premier outil analytique de classement des nations en tant que marques.
« La marque Israël est de très loin la plus négative que nous ayons jamais mesurée avec le NBI ; elle ressort bonne dernière sur la quasi-totalité des critères de l’étude », écrit son auteur Simon Anholt.
Anholt estime que la politique d’un Etat peut affecter la perception qu’une personne aura de chacun des aspects d’un pays donné. A la lumière des annonces récentes du ministère israélien des Affaires étrangères, en vue de restaurer la « marque » Israël, Anholt explique que pour une chance de succès d’améliorer son image de manière durable, un pays doit être prêt à modifier ses comportements. Une bonne réputation ne se construit pas, elle se gagne, ajoute-t-il.
« Si l’intention d’Israël est de promouvoir l’idée qu’il s’agit d’un pays où il fait bon vivre et investir, alors il y a du pain sur la planche », conclut-il. Le classement exécrable d’Israël vaut pour chacune des catégories sous revue, y compris le fait qu’Israël est de loin le pays où les sondés ont le moins envie de visiter. Pire encore, la population israélienne est perçue comme étant la moins accueillante du monde.
Dernière surprise désagréable : à ceux qui pensaient que les Etats-Unis sont le meilleur ami d’Israël, et qu’Israël y bénéficie toujours d’une cote d’amour, le NBI apporte un démenti cinglant. Les Américains notent Israël à peine moins sévèrement que la Chine pour ce qui est de sa politique internationale, au regard de la paix et de la sécurité.
Les 35 pays autres qu’Israël inclus dans l’étude sont les suivants : Argentine, Australie, Belgique, Brésil, Canada, Chine, République Tchèque, Danemark, Egypte, Estonie, France, Allemagne, Hongrie, Inde, Indonésie, République d’Irlande, Italie, Japon, Malaisie, Mexique, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Norvège, Pologne, Portugal, Russie, Singapour, Afrique du Sud, Corée du Sud, Espagne, Suède, Suisse, Turquie, Royaume-Uni, Etats-Unis d’Amérique.
http://www.israeltoday.co.il/default.aspx?tabid=178&nid=10395#.TtzFQM2Uef0
Titre : La marque « Israël » est la plus mauvaise du monde (par la rédaction d’Israel Today)
Comme si le statut d’Israël sur la scène mondiale n’était pas déjà assez dégradé, voilà qu’une nouvelle étude, publiée mercredi aux Etats-Unis nous apprend que son image est la pire de tous les pays à la surface de la planète. L’étude, appelée Indices des Marques Nationales (National Brands Index, NBI), a été dirigée par un conseiller du gouvernement américain, Simon Anholt, et conduite par la société d’études de marchés GMI (Global Market Insite Inc.). Ses conclusions sont sans appel : Israël est bon dernier, en ce qui concerne la perception, par le public, de son image.
Ont été interrogés 25.903 consommateurs de d’Israël et de 35 autres pays, à qui il a été demandé de noter chacun des pays étrangers (35, donc) au regard de six critères : « Investissement et Immigration », « Exportations », « Culture et Patrimoine », « Population », « Gouvernance », et enfin « Tourisme ». Le NBI est le premier outil analytique de classement des nations en tant que marques.
« La marque Israël est de très loin la plus négative que nous ayons jamais mesurée avec le NBI ; elle ressort bonne dernière sur la quasi-totalité des critères de l’étude », écrit son auteur Simon Anholt.
Anholt estime que la politique d’un Etat peut affecter la perception qu’une personne aura de chacun des aspects d’un pays donné. A la lumière des annonces récentes du ministère israélien des Affaires étrangères, en vue de restaurer la « marque » Israël, Anholt explique que pour une chance de succès d’améliorer son image de manière durable, un pays doit être prêt à modifier ses comportements. Une bonne réputation ne se construit pas, elle se gagne, ajoute-t-il.
« Si l’intention d’Israël est de promouvoir l’idée qu’il s’agit d’un pays où il fait bon vivre et investir, alors il y a du pain sur la planche », conclut-il. Le classement exécrable d’Israël vaut pour chacune des catégories sous revue, y compris le fait qu’Israël est de loin le pays où les sondés ont le moins envie de visiter. Pire encore, la population israélienne est perçue comme étant la moins accueillante du monde.
Dernière surprise désagréable : à ceux qui pensaient que les Etats-Unis sont le meilleur ami d’Israël, et qu’Israël y bénéficie toujours d’une cote d’amour, le NBI apporte un démenti cinglant. Les Américains notent Israël à peine moins sévèrement que la Chine pour ce qui est de sa politique internationale, au regard de la paix et de la sécurité.
Les 35 pays autres qu’Israël inclus dans l’étude sont les suivants : Argentine, Australie, Belgique, Brésil, Canada, Chine, République Tchèque, Danemark, Egypte, Estonie, France, Allemagne, Hongrie, Inde, Indonésie, République d’Irlande, Italie, Japon, Malaisie, Mexique, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Norvège, Pologne, Portugal, Russie, Singapour, Afrique du Sud, Corée du Sud, Espagne, Suède, Suisse, Turquie, Royaume-Uni, Etats-Unis d’Amérique.
http://www.israeltoday.co.il/default.aspx?tabid=178&nid=10395#.TtzFQM2Uef0
vendredi 16 décembre 2011
L'occupant sioniste remplit de nouveau ses geôles. Arrestations massives de Palestiniens.
L’association de défense des prisonniers palestiniens Addameer signale la très grande recrudescence d’emprisonnements de Palestiniens par Israël depuis la première vague de libération annoncée par le gouvernement Netanyahou. Près de 470 Palestiniens ont en effet été arrêtés entre le 18 octobre dernier et le 12 décembre, dont 70 enfants et 11 femmes, tandis que 477 prisonniers politiques étaient libérés, rapporte cette ONG.
Ramallah, 15 Decembre 2011 – L’échange de prisonniers conclu pour la libération de Gilad Shalit s’est en réalité traduit par une énorme vague de nouvelles arrestations et d’emprisonnements, alerte ADDAMEER.
En outre les prisonniers libérés sont en danger constant d’être agressés, non seulement par les colons, mais aussi par l’armée israélienne, qui effectue des descentes à leurs domiciles, leur ordonne de rencontrer les services secrets israéliens, et a même arrêté un prisonnier à peine libéré.
Les soldats israéliens se déguisent souvent en civils palestiniens pour essayer de piéger les anciens prisonniers à leur travail ou près de chez eux.
L’armée et les services secrets conduisent ensemble des raids après minuit, saccageant les foyers de ces Palestiniens sous prétexte de vouloir les fouiller.
La majorité des enfants arrêtés pendant la période considérée vient du camp de Shufat à Jérusalem et du camp de réfugiés de Dheisheh à Bethléem.
Au cours des deux dernières semaines, 11 enfants ont été kidnappés par l’armée israélienne dans le camp de Shufat et 20 dans celui de Dheisheh.
Deux des femmes emmenées lors des deux derniers mois, sont toujours en détention.
Une femme récemment relâchée, Irsa Salhab, journaliste, a passé plus de 20 jours au centre d’interrogatoire de Moskobiyyeh.
Six femmes ont été arrêtées pendant une manifestation à l’extérieur de la prison de Hasharon, alors qu’elles réclamaient la libération des prisonnières non incluses dans la première vague de "l’échange".
Trois d’entre elles ont été emprisonnées.
Les militants politiques ont été tout particulièrement visés au cours des derniers mois. 150 pour leur soi-disant appartenance à des partis politiques, notamment le FPLP..
Des membres du Conseil législatif palestinien ont vu leur "détention administrative" prolongée et l’un d’entre eux a été condamné à 30 ans de prison.
De plus, le 27 octobre dernier, prenant prétexte de la grève de la faim des prisonniers contre les mesures punitives et notamment l’isolement, l’administration pénitentiaire a prolongé d’un an la peine d’isolement de Ahmad Sa’adat. Au début décembre, ce prisonnier en était à son 34ème mois consécutif en cellule isolée.
L’armée s’est également acharnée sur les défenseurs des droits de l’homme, afin de réprimer toute résistance populaire.
Des manifestants pacifiques ont été arrêtés dans quasiment tous les villages qui sont engagés dans des protestations hebdomadaires : 2 à Bil’in, 3 à Nabi Saleh, 17 à Beit Ummar, 3 à Al-Ma’asara, 1 à Kufr Qaddum, et 2 à Al-Walajeh, sans compter les arrestations à Jerusalem Est et dans le sud d’Hébron.
Une violence inouïe a été employée pour disperser ces manifestations, causant la mort de Mustafa Tamimi, 28 ans, le 10 décembre dernier.
Ce constat très inquiétant amène ADDAMEER à s’interroger sur ce qui va se passer après la deuxième vague d’échange de prisonniers annoncée pour dimanche.
L’association appelle les citoyens du monde entier à se mobiliser pour faire cesser la détention arbitraire des Palestiniens et la violence israélienne.
Addameer Prisoner Support and Human Rights Association
P. O. Box : 17338, Jerusalem
Ramallah, 15 Decembre 2011 – L’échange de prisonniers conclu pour la libération de Gilad Shalit s’est en réalité traduit par une énorme vague de nouvelles arrestations et d’emprisonnements, alerte ADDAMEER.
En outre les prisonniers libérés sont en danger constant d’être agressés, non seulement par les colons, mais aussi par l’armée israélienne, qui effectue des descentes à leurs domiciles, leur ordonne de rencontrer les services secrets israéliens, et a même arrêté un prisonnier à peine libéré.
Les soldats israéliens se déguisent souvent en civils palestiniens pour essayer de piéger les anciens prisonniers à leur travail ou près de chez eux.
L’armée et les services secrets conduisent ensemble des raids après minuit, saccageant les foyers de ces Palestiniens sous prétexte de vouloir les fouiller.
La majorité des enfants arrêtés pendant la période considérée vient du camp de Shufat à Jérusalem et du camp de réfugiés de Dheisheh à Bethléem.
Au cours des deux dernières semaines, 11 enfants ont été kidnappés par l’armée israélienne dans le camp de Shufat et 20 dans celui de Dheisheh.
Deux des femmes emmenées lors des deux derniers mois, sont toujours en détention.
Une femme récemment relâchée, Irsa Salhab, journaliste, a passé plus de 20 jours au centre d’interrogatoire de Moskobiyyeh.
Six femmes ont été arrêtées pendant une manifestation à l’extérieur de la prison de Hasharon, alors qu’elles réclamaient la libération des prisonnières non incluses dans la première vague de "l’échange".
Trois d’entre elles ont été emprisonnées.
Les militants politiques ont été tout particulièrement visés au cours des derniers mois. 150 pour leur soi-disant appartenance à des partis politiques, notamment le FPLP..
Des membres du Conseil législatif palestinien ont vu leur "détention administrative" prolongée et l’un d’entre eux a été condamné à 30 ans de prison.
De plus, le 27 octobre dernier, prenant prétexte de la grève de la faim des prisonniers contre les mesures punitives et notamment l’isolement, l’administration pénitentiaire a prolongé d’un an la peine d’isolement de Ahmad Sa’adat. Au début décembre, ce prisonnier en était à son 34ème mois consécutif en cellule isolée.
L’armée s’est également acharnée sur les défenseurs des droits de l’homme, afin de réprimer toute résistance populaire.
Des manifestants pacifiques ont été arrêtés dans quasiment tous les villages qui sont engagés dans des protestations hebdomadaires : 2 à Bil’in, 3 à Nabi Saleh, 17 à Beit Ummar, 3 à Al-Ma’asara, 1 à Kufr Qaddum, et 2 à Al-Walajeh, sans compter les arrestations à Jerusalem Est et dans le sud d’Hébron.
Une violence inouïe a été employée pour disperser ces manifestations, causant la mort de Mustafa Tamimi, 28 ans, le 10 décembre dernier.
Ce constat très inquiétant amène ADDAMEER à s’interroger sur ce qui va se passer après la deuxième vague d’échange de prisonniers annoncée pour dimanche.
L’association appelle les citoyens du monde entier à se mobiliser pour faire cesser la détention arbitraire des Palestiniens et la violence israélienne.
Addameer Prisoner Support and Human Rights Association
P. O. Box : 17338, Jerusalem
jeudi 15 décembre 2011
L'Union européenne à la remorque de l'état sioniste, c'en est lassant.
L'Europe pousse l'agneau palestinien à "négocier" directement avec son oppresseur sioniste qui poursuit tranquillement sa totale mainmise sur ce qui reste du banthoustan palestinien.
L'Union européenne (UE) souhaite voir Israël et les Palestiniens reprendre des négociations directes en vue de résoudre leurs disputes, a indiqué mercredi 14 décembre 2011 le président du Conseil européen Herman Van Rompuy.
M. Van Rompuy a tenu ces propos lors d'un entretien avec le président de l'Autorité palestinienne (AP), Mahmoud Abbas, en visite à Bruxelles. "J'ai souligné combien l'UE demeure attachée à la solution à deux Etats. J'ai souligné que le meilleur moyen de parvenir à cela passe par des négociations directes entre les deux parties", a indiqué M. Van Rompuy dans une déclaration à l'issue de l'entretien. M. Abbas s'est rendu à Bruxelles après avoir hissé le drapeau national palestinien au quartier général de l'UNESCO, mardi 13 décembre à Paris. "J'espère que le jour viendra où nous allons hisser le drapeau de la Palestine aux Nations Unies, et avec le soutien de l'Union européenne", a déclaré M. Abbas lors d'une conférence de presse après son entretien avec M. Van Rompuy.
L'Union européenne (UE) souhaite voir Israël et les Palestiniens reprendre des négociations directes en vue de résoudre leurs disputes, a indiqué mercredi 14 décembre 2011 le président du Conseil européen Herman Van Rompuy.
M. Van Rompuy a tenu ces propos lors d'un entretien avec le président de l'Autorité palestinienne (AP), Mahmoud Abbas, en visite à Bruxelles. "J'ai souligné combien l'UE demeure attachée à la solution à deux Etats. J'ai souligné que le meilleur moyen de parvenir à cela passe par des négociations directes entre les deux parties", a indiqué M. Van Rompuy dans une déclaration à l'issue de l'entretien. M. Abbas s'est rendu à Bruxelles après avoir hissé le drapeau national palestinien au quartier général de l'UNESCO, mardi 13 décembre à Paris. "J'espère que le jour viendra où nous allons hisser le drapeau de la Palestine aux Nations Unies, et avec le soutien de l'Union européenne", a déclaré M. Abbas lors d'une conférence de presse après son entretien avec M. Van Rompuy.
mercredi 14 décembre 2011
1000 rues sans nom pour les bougnoules de Jérusalem. Comment survivre sans adresse?
par Gerard Fredj (israel infos)
Plus de mille rues de Jérusalem-est attendent toujours de recevoir un nom.
La municipalité vient de résoudre le "problème" de l'une d'entre elles, en lui attribuant le nom d' "Umm Kulthum" (Oum Kalsoum), la célère chanteuse égyptienne.
Ce nom est "un des 86 annoncés pour trois quartiers : Tzur Bachar, Beit Hanina, et Isawiya.
L'absence de nom attribué à plusieurs centaines de rues pose des problèmes au quotidien pour les habitants arabes de ces quartiers : difficultés à être localisés, quasi impossibilité de recevoir du courrier.
Pour la première fois, les habitants de ces rues auront une adresse.
Selon le maire de Jérusalem, Nir Barkats "nous travaillons dans ces quartiers pour améliorer la vie au quotidien et réduire les disparités".
Selon le conseiller municipal Meir Margalit (Meretz) en charge du dossier de Jérusalem est, nommer l'ensemble des rues pourrait prendre plus d'un an.
Le conseil du quartier de Beth Hanina a été sollicité pour proposer des noms à partir des photos aériennes du quartier.
Oum Kalsoum, la chanteuse égyptienne décédée en 1975, était populaire dans le monde arabe mais également en Europe de l'ouest.
"Cela fait des années que nous réclamons que nos rues soient identifiées, parce que, quand vous avez besoin d'une ambulance ou d'un service d'urgences, vous devez pouvoir leur indiquer où vous habitez", expliquait un habitant de Beit Hanina.
"Le courrier est un problème énorme parce que les gens ne peuvent pas donner d'adresse exacte", souligne-t-il.
La municipalité veut consulter la population sur le choix des noms, mais l'a appelée à s'abstenir de toute proposition "provocatrice", en désignant par exemple des auteurs d'attentats. Les noms seront soumis à l'approbation d'une commission municipale, a précisé un responsable municipal.
"Les habitants peuvent proposer des noms, qui seront examinés par une commission puis une autre présidée par un juge de la Cour suprême, c'est le même processus qu'à Jérusalem-Ouest et l'ensemble d'Israël", a-t-il expliqué.
Plus de mille rues de Jérusalem-est attendent toujours de recevoir un nom.
La municipalité vient de résoudre le "problème" de l'une d'entre elles, en lui attribuant le nom d' "Umm Kulthum" (Oum Kalsoum), la célère chanteuse égyptienne.
Ce nom est "un des 86 annoncés pour trois quartiers : Tzur Bachar, Beit Hanina, et Isawiya.
L'absence de nom attribué à plusieurs centaines de rues pose des problèmes au quotidien pour les habitants arabes de ces quartiers : difficultés à être localisés, quasi impossibilité de recevoir du courrier.
Pour la première fois, les habitants de ces rues auront une adresse.
Selon le maire de Jérusalem, Nir Barkats "nous travaillons dans ces quartiers pour améliorer la vie au quotidien et réduire les disparités".
Selon le conseiller municipal Meir Margalit (Meretz) en charge du dossier de Jérusalem est, nommer l'ensemble des rues pourrait prendre plus d'un an.
Le conseil du quartier de Beth Hanina a été sollicité pour proposer des noms à partir des photos aériennes du quartier.
Oum Kalsoum, la chanteuse égyptienne décédée en 1975, était populaire dans le monde arabe mais également en Europe de l'ouest.
"Cela fait des années que nous réclamons que nos rues soient identifiées, parce que, quand vous avez besoin d'une ambulance ou d'un service d'urgences, vous devez pouvoir leur indiquer où vous habitez", expliquait un habitant de Beit Hanina.
"Le courrier est un problème énorme parce que les gens ne peuvent pas donner d'adresse exacte", souligne-t-il.
La municipalité veut consulter la population sur le choix des noms, mais l'a appelée à s'abstenir de toute proposition "provocatrice", en désignant par exemple des auteurs d'attentats. Les noms seront soumis à l'approbation d'une commission municipale, a précisé un responsable municipal.
"Les habitants peuvent proposer des noms, qui seront examinés par une commission puis une autre présidée par un juge de la Cour suprême, c'est le même processus qu'à Jérusalem-Ouest et l'ensemble d'Israël", a-t-il expliqué.
mardi 13 décembre 2011
Sarkozy passe la pommade sur le dos du caniche palestinien
L'Occident impérial fait tout un cinéma pour maintenir l'illusion d'un processus de paix pendant que l'ogre sioniste dévore tranquillement ce qui reste de la Palestine.
"Le président de la République recevra, ce mardi 13 décembre 2011, à 18h00 au Palais de l'Elysée, Mahmoud Abbas, Président de l'Autorité palestinienne.
L'entretien sera consacré à la situation dans les Territoires palestiniens, aux relations bilatérales franco-palestiniennes, aux moyens de faire progresser le processus de paix israélo-palestinien ainsi qu'aux principales questions régionales."
"Le président de la République recevra, ce mardi 13 décembre 2011, à 18h00 au Palais de l'Elysée, Mahmoud Abbas, Président de l'Autorité palestinienne.
L'entretien sera consacré à la situation dans les Territoires palestiniens, aux relations bilatérales franco-palestiniennes, aux moyens de faire progresser le processus de paix israélo-palestinien ainsi qu'aux principales questions régionales."
dimanche 11 décembre 2011
En novlangue sioniste le peuple palestinien n'existe plus.
Les sionistes ne savent plus comment se débarrasser du problème palestinien. Après avoir expulsé les Palestiniens, rasé leurs villages, réduits à l'état de colonisés, les sionistes inventent un nouveau concept. Et si ce peuple a été inventé? Formidable! Il suffit de faire dire aux supporters sionistes de répandre la bonne parole, comme le candidat américain.
Newt Gingrich, nouveau favori dans la course à l'investiture républicaine, n'a pas fait dans la dentelle, vendredi, en traitant les Palestiniens de ''peuple inventé'' et de ''groupes de terroristes''. Interviewé par la chaîne The Jewish Channel, il a accusé l'Autorité palestinienne de partager avec le Hamas "l'énorme désir de détruire Israël". Il a critiqué l'administration Obama qui se fait selon lui "des illusions" sur la situation au Proche-Orient, avant de mettre en doute la légitimité de l'aspiration des Palestiniens à un État. "Nous sommes en présence d'un peuple palestinien inventé, qui est en fait un peuple arabe, et qui faisait historiquement partie de la communauté arabe", a observé M. Gingrich, qui dispose d'un diplôme d'histoire. Selon lui, les Palestiniens, "avaient la possibilité d'aller n'importe où. Mais pour un certain nombre de raisons politiques, nous avons entretenu cette guerre contre Israël depuis les années 1940 et je trouve que c'est tragique".
Newt Gingrich, nouveau favori dans la course à l'investiture républicaine, n'a pas fait dans la dentelle, vendredi, en traitant les Palestiniens de ''peuple inventé'' et de ''groupes de terroristes''. Interviewé par la chaîne The Jewish Channel, il a accusé l'Autorité palestinienne de partager avec le Hamas "l'énorme désir de détruire Israël". Il a critiqué l'administration Obama qui se fait selon lui "des illusions" sur la situation au Proche-Orient, avant de mettre en doute la légitimité de l'aspiration des Palestiniens à un État. "Nous sommes en présence d'un peuple palestinien inventé, qui est en fait un peuple arabe, et qui faisait historiquement partie de la communauté arabe", a observé M. Gingrich, qui dispose d'un diplôme d'histoire. Selon lui, les Palestiniens, "avaient la possibilité d'aller n'importe où. Mais pour un certain nombre de raisons politiques, nous avons entretenu cette guerre contre Israël depuis les années 1940 et je trouve que c'est tragique".
mercredi 7 décembre 2011
un écrivain sioniste expulsé de la conférence des écrivains méditerranéens. Tahar Ben Jelloun prend sa défense.
Marseille :un auteur israélien expulsé de la conférence des écrivains méditerranéens
par Gerard Fredj
La Conférence des écrivains méditerranéens a connu une journée d'agitation après l'expulsion d'une table ronde d'un auteur israélien à la demande d'un poète palestinien, Najwan Darwish.
Pour Pierre Assouline, écrivain, journaliste, et éditeur notamment du blog "La république des livres" la participation de Moshe Sakal "n'était pas cruciale" dans cette table-ronde consacrée au printemps arabe.
Une bien étrange justification de la censure !
Joint par téléphone par le quotidien Haaretz, Assouline rappelle qu'il y a deux ans, les auteurs palestiniens avaient boycotté la conférence en raison de la présence même des israéliens.
Darwish a lui accepté la présence israélienne, à condition qu'il ne soit à aucun moment assis à coté d 'un israélien.
Pierre Assouline, qui a expliqué la situation à l'assistance avant le début de la table-ronde a déclaré "que la moitié de la salle était en colère, l'autre moitié satisfaite".
Moshe Sakal a pour sa part été surpris d'entendre Darwish l'accuser "de l'avoir expulsé de sa terre" et "comme les juifs des pays arabes, de haïr particulièrement les palestiniens"
Sakal rapporte également qu'à son entrée dans le hall, il s'est retrouvé près de Tahar ben Jelloun qui s'exprimait "contre ce type de boycott" expliquant qu'il fallait plutôt "parler aux écrivains israéliens même si l'on n'approuve pas la politique israélienne".
par Gerard Fredj
La Conférence des écrivains méditerranéens a connu une journée d'agitation après l'expulsion d'une table ronde d'un auteur israélien à la demande d'un poète palestinien, Najwan Darwish.
Pour Pierre Assouline, écrivain, journaliste, et éditeur notamment du blog "La république des livres" la participation de Moshe Sakal "n'était pas cruciale" dans cette table-ronde consacrée au printemps arabe.
Une bien étrange justification de la censure !
Joint par téléphone par le quotidien Haaretz, Assouline rappelle qu'il y a deux ans, les auteurs palestiniens avaient boycotté la conférence en raison de la présence même des israéliens.
Darwish a lui accepté la présence israélienne, à condition qu'il ne soit à aucun moment assis à coté d 'un israélien.
Pierre Assouline, qui a expliqué la situation à l'assistance avant le début de la table-ronde a déclaré "que la moitié de la salle était en colère, l'autre moitié satisfaite".
Moshe Sakal a pour sa part été surpris d'entendre Darwish l'accuser "de l'avoir expulsé de sa terre" et "comme les juifs des pays arabes, de haïr particulièrement les palestiniens"
Sakal rapporte également qu'à son entrée dans le hall, il s'est retrouvé près de Tahar ben Jelloun qui s'exprimait "contre ce type de boycott" expliquant qu'il fallait plutôt "parler aux écrivains israéliens même si l'on n'approuve pas la politique israélienne".
vendredi 2 décembre 2011
Le prix de la culpabilité: l'Allemagne renforce les capacités militaires nucléaires du régime sioniste
L'Allemagne fournira à Israël un sixième sous-marin, capable de transporter des armes nucléaires, rapporte le journal allemand «Der Spiegel». Le ministre de la défense allemand, Thomas de Maizière, a promis durant sa visite en Israël, la semaine dernière, que le gouvernement de Berlin financera le navire à hauteur de 135 000 000€.
6 sous-marins livrés gratuitement ou à moitié prix. On aurait compris que l'Allemagne aide les communautés juives de par le monde, mais la plupart des survivants, surtout en Israël, vivent dans le dénuement, quand même les banques sionistes refusent de leur rendre l'argent placé par leurs familles avant la guerre.
Mais surarmer cet Etat conquérant, impérialiste, colonial, et expansionniste (contre qui au fait tous ces armements atomiques? l'Allemagne ne rend pas service ni aux juifs ni à la paix.
6 sous-marins livrés gratuitement ou à moitié prix. On aurait compris que l'Allemagne aide les communautés juives de par le monde, mais la plupart des survivants, surtout en Israël, vivent dans le dénuement, quand même les banques sionistes refusent de leur rendre l'argent placé par leurs familles avant la guerre.
Mais surarmer cet Etat conquérant, impérialiste, colonial, et expansionniste (contre qui au fait tous ces armements atomiques? l'Allemagne ne rend pas service ni aux juifs ni à la paix.
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