Alors que la colonisation sioniste se poursuit implacablement et que bientôt les Palestiniens ne disposeront ni de terre ni d'eau, les kollabos palestiniens poursuivent leur misérable dialogue pour sauvegarder leurs misérables privilèges!
"Le Premier ministre de l’État d’Israël, Benjamin Netanyahu et le Premier ministre palestinien Salam Fayyad vont se rencontrer après les fêtes de Pessah, lors de « la plus importante réunion bilatérale depuis septembre 2010 », selon les déclarations du bureau du Premier ministre à Jérusalem, mercredi 4 avril 2012. Le Premier ministre de l’AP va transmettre, lors de cette rencontre, une lettre du président Mahmoud Abbas à Benjamin Netanyahu, détaillant les exigences palestiniennes pour le redémarrage du processus de paix."
Les "dirigeants" palestiniens, de temps en temps, s'embarquent dans des pourparlers chimériques et le peuple regarde passer les décennies perdues. Le train-train est bien connu : la partie sioniste parle de "processus de paix" (tout en rigolant à haute voix) et les collabos honteux font mine de négocier. Les choses sont pourtant claires, comme le clamait un certain Z. Jabotinsky : « Une réconciliation volontaire avec les Arabes est hors de question, que ce soit maintenant ou dans le futur » (son livre «Le mur de fer», 1923). On comprend pourquoi ces fameux « pourparlers de paix » – dont la simple évocation semble aujourd'hui suffire en elle-même – ont l’air d’un canular reproductible à l’infini. Les mots sont en train de prévaloir sur les faits.
RépondreSupprimerDisons-le : le peuple palestinien a affaire à un adversaire « sûr de lui et dominateur » (C. De Gaulle, 1967), un adversaire fourbe et d’une cruauté inégalée. Les leaders israéliens successifs savent s’y prendre pour dire le contraire de ce qu’ils font (ou ce qu’ils comptent faire). Ils inventent sans relâche les échappatoires et les esquives, créent les faits accomplis sur le terrain. Le phénomène a pris une ampleur invraisemblable. La boutade de Ben Gourion, à cet égard, est très éloquente : « Si j'étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C'est normal, nous avons pris leur pays » (cité par Nahum Goldmann dans «Le paradoxe juif », 1976). La bravade est prononcée haut et fort, sur un ton plein de morgue et de dérision.
Pourquoi les "dirigeants palestiniens" ne comprennent pas ces vérités d'évidence ? Parce ce sont des collabos, des lavettes.
Chaque fois que Jacob Cohen entend les mots "dialogue", rencontre", negociations", il sort son artillerie. Lui, Jacob-va-t-en guerre, il n'admet pas qu'une solution puisse etre trouvee autour d'une table de negociations, avec des concessions DOULOUREUSEs de part et d'autre.
RépondreSupprimerJacob Cohen voit dans un (mauvais) film d'action...
l'affaire n'est pas limité aux palestiniens , c'est une cause qui regroupent tout l'humanité , le danger sioniste ne veut pas faire la paix , il veut nous immerger dans l'inoubliable avec leurs idées de colonisation universelle
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