lundi 19 février 2018

Le Mythe de l'Antisémitisme en France

5 commentaires:

  1. Il se passe peu de journées sans que l’on n’entende parler d’antisémitisme. Sont désignés par là des actes ou des propos dirigés contre des membres ou des symboles (notamment les synagogues) de la communauté israélite. L’expression est ainsi employée au sens d’antijuif. Pourtant, les Juifs sont loin d’être les seuls Sémites. Le terme a été inventé en 1781 par l’orientaliste allemand August Ludwig Schlözer, à partir du nom d’un des fils de Noé, Sem, pour désigner des langues dont la parenté avait été établie dès le Moyen-Âge par les savants juifs : l’hébreu, l’araméen, l’arabe. Les spécialistes ont ensuite regroupés sous l’appellation de « sémite » tout un ensemble de peuples qui, dans le courant du IIIe millénaire avant Jésus-Christ, émigrèrent de la péninsule Arabique vers la Mésopotamie, la Syrie, la Palestine, puis, vers 700 avant Jésus-Christ, vers la corne de l’Afrique. Ils se caractérisent par leur appartenance à une même famille linguistique, mais ne présentent pas nécessairement d’autre parenté.
    Aujourd’hui, les peuples qu’on peut qualifier de sémites sont essentiellement les Juifs et les Arabes, mais, dans l’Antiquité, on comptait également les Assyriens, les Babyloniens, les Araméens, les Cananéens et les Phéniciens. Les Sémites donnèrent
    naissance à des alphabets et à des dialectes qui se répandirent dans toute la Méditerranée orientale, le Proche-Orient et l’Afrique du Nord-Ouest.
    L’araméen, langue du Christ et des apôtres, servit de lingua franca au Proche-Orient pendant près de mille ans. Elle fut supplantée par sa proche cousine, l’arabe, après l’Hégire (622 après Jésus-Christ). Le syriaque est une forme tardive de l’araméen d’Edesse, une région chrétienne d’Asie mineure, qui exerça une grande influence dans la région à partir du IIIe siècle après Jésus-Christ jusqu’à la conquête turque, vers le début du XVe siècle. Comme l’araméen, l’alphabet syriaque est composé de vingt-deux lettres, et, comme l’arabe, uniquement de consonnes, les voyelles étant indiquées par des signes.
    De nos jours, les linguistes rattachent les langues sémitiques à un ensemble plus vaste dénommé chamito-sémitique, qui englobe aussi bien l’égyptien ancien que le copte (encore utilisé dans la liturgie des chrétiens égyptiens), le berbère dans ses diverses variantes (tamazight, tachelhit, chaouïa, tamasheq), le haoussa et quelque deux cents autres langues tchadiques, le somali et les langues apparentées, appelées couchitiques, ainsi qu’une trentaine de langues, dites omotiques, parlées dans la région du bassin du fleuve Omo, en Éthiopie.

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  2. En gros les arabes sont des sémites au même titre que les hébreux c est a dire les juifs d orient et certainement pas les juifs d Europe de l est et d Amérique latiñe qui se sont cont convertit au judaïsme il y'a quelques années.

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  3. Et pour les européens de l est il y a quelques siécles

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  4. Qui sont les sémites ?

    Il se passe peu de journées sans que l’on n’entende parler d’antisémitisme. Sont désignés par là des actes ou des propos dirigés contre des membres ou des symboles (notamment les synagogues) de la communauté israélite. L’expression est ainsi employée au sens d’antijuif. Pourtant, les Juifs sont loin d’être les seuls Sémites. Le terme a été inventé en 1781 par l’orientaliste allemand August Ludwig Schlözer, à partir du nom d’un des fils de Noé, Sem, pour désigner des langues dont la parenté avait été établie dès le Moyen-Âge par les savants juifs : l’hébreu, l’araméen, l’arabe. Les spécialistes ont ensuite regroupés sous l’appellation de « sémite » tout un ensemble de peuples qui, dans le courant du IIIe millénaire avant Jésus-Christ, émigrèrent de la péninsule Arabique vers la Mésopotamie, la Syrie, la Palestine, puis, vers 700 avant Jésus-Christ, vers la corne de l’Afrique. Ils se caractérisent par leur appartenance à une même famille linguistique, mais ne présentent pas nécessairement d’autre parenté.
    Aujourd’hui, les peuples qu’on peut qualifier de sémites sont essentiellement les Juifs et les Arabes, mais, dans l’Antiquité, on comptait également les Assyriens, les Babyloniens, les Araméens, les Cananéens et les Phéniciens. Les Sémites donnèrent
    naissance à des alphabets et à des dialectes qui se répandirent dans toute la Méditerranée orientale, le Proche-Orient et l’Afrique du Nord-Ouest.
    L’araméen, langue du Christ et des apôtres, servit de lingua franca au Proche-Orient pendant près de mille ans. Elle fut supplantée par sa proche cousine, l’arabe, après l’Hégire (622 après Jésus-Christ). Le syriaque est une forme tardive de l’araméen d’Edesse, une région chrétienne d’Asie mineure, qui exerça une grande influence dans la région à partir du IIIe siècle après Jésus-Christ jusqu’à la conquête turque, vers le début du XVe siècle. Comme l’araméen, l’alphabet syriaque est composé de vingt-deux lettres, et, comme l’arabe, uniquement de consonnes, les voyelles étant indiquées par des signes.
    De nos jours, les linguistes rattachent les langues sémitiques à un ensemble plus vaste dénommé chamito-sémitique, qui englobe aussi bien l’égyptien ancien que le copte (encore utilisé dans la liturgie des chrétiens égyptiens), le berbère dans ses diverses variantes (tamazight, tachelhit, chaouïa, tamasheq), le haoussa et quelque deux cents autres langues tchadiques, le somali et les langues apparentées, appelées couchitiques, ainsi qu’une trentaine de langues, dites omotiques, parlées dans la région du bassin du fleuve Omo, en Éthiopie.

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  5. Aujourd’hui, 95 % des juifs ne sont pas des descendants d’Hébreux ou de Sémites. La plupart des gens qui emploient à tout va le mot antisémitisme n’ont jamais tenu de livre d’Histoire dans leurs mains et n’ont pas vraiment étudié l’origine et la provenance du judaïsme et de son passé...
    En France, ce thème pourri a rendu l'atmosphère totalement exécrable. Ainsi, après une bagarre entre un jeune juif et un autre d'origine maghrébine, il suffit que le premier dise que l'autre « m'a frappé parce que je suis juif » pour que le second voie sa vie basculer. Il aura à subir les assauts virulents d'un avocat aguerri, du représentant du CRIF, du président de la LICRA, de la meute médiatique, du ministre de l'Intérieur, du grand rabbin et tutti quanti.
    Le statut de victime, conforté par les média-mensonges, a permis aux conquérants juifs de mépriser les lois internationales, de se moquer des résolutions de l'ONU. Les intellectuels intègres qui ont le courage de dire ce qu’ils pensent sont insultés, menacés, persécutés, agressés moralement et physiquement.

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