Vive les Parlements Européens, que 100 Parlements s'épanouissent
Il est né le parlement juif européen. Jouez Shofars, résonnez Tambourins !
Voilà une idée qu'elle est bonne.
Un parlement, ce n'est pas seulement un lieu où l'on parle et ment. C'est un lieu où s'écrit la loi.
Bon, les tables de la Loi, nous les avons. Mais 10 commandements, c'est trop peu pour régler tous les aspects de la vie dans des civilisations de la valeur des nôtres – et faire comprendre aux autres civilisations qu'elles n'ont pas le niveau.
Vive le Parlement Juif européen, installé dans le ghetto, pardon le bunker bruxellois.
Mais surtout n'en restons pas là, et aidons les autres à atteindre ce degré.
Il faut un parlement occitan européen, avec présence du Val d'Aran et de Monaco, débat pour le val d'Aoste.
Il faut un parlement celte, un parlement basque, un parlement slave, un parlement musulman européens...
Ah non ? Et pourquoi non ? Parce que personne ne veut délégitimer la Russie, il n'y a pas besoin d'un Parlement slave à Bruxelles ?
Parce que le Coran vient d'ailleurs, il n'est pas autochtone ?
Mais alors la Bible ?
Cette histoire de parlement est donc un nouvel épisode du chantage permanent à l'exception juive, parce que l'antisémitisme, parce que la Shoah, parce que Israël.
Que l'Union européenne fasse siéger non un conseil représentatif des Juifs d'Europe (qui n'a pas lieu d'être), mais un assez misérable lobby du sionisme en grande pompe dans son siège même, dit à quel niveau d'aplatissement devant Israël l'institution en est arrivée. Et il y a effectivement à craindre que ce soit une étape vers le rehaussement des relations entre l'UE et Israël au point que Israël deviendra explicitement ou implicitement nouvel Etat de l'Union. Au fait, avez-vous entendu dire qu'un seul député européen s'était étonné de ce tapis rouge déroulé pour cette mascarade ? José, Jean-Luc, savez vous que ce n'est pas pour ce silence que vous avez été élus ?
Disons-le le plus clairement possible : cette logique est une fuite en avant irresponsable. Elle exacerbe l'hostilité à l'Etat israélien au Moyen Orient comme en Europe. Ceux qui veulent sincèrement une paix durable pour une communauté juive au Moyen Orient doivent comprendre qu'ils font fausse route, que la paix passe par la reconnaissance des crimes commis contre le peuple palestinien, par la reconnaissance des droits de ce peuple, par la sanction des dirigeants qui ont entrainé Israël dans cette politique criminelle, par la fin de leur impunité.
Le meilleur service que les Juifs européens puissent rendre aux Israéliens, c'est de s'engager pleinement dans la campagne BDS aux côtés de tous les défenseurs sincères des droits humains dans le monde.
Bureau national de l’UJFP le 28-02-2012
Union Juive Française pour la Paix (UJFP) - 21 ter rue Voltaire, 75011 PARIS
Ce blog est par nature progressiste, destiné à démythifier Israël et à contrer sa propagande. Ouvert aux débats, aux échanges, et à toutes contributions allant dans ce sens.
mardi 28 février 2012
samedi 25 février 2012
Jacob Cohen répond à André Azoulay
M. Azoulay est un homme d’expérience. Il a fréquenté les milieux financiers internationaux et côtoyé des personnalités de haut rang, dont certainement des ministres et des ambassadeurs. Il sait comment faire avancer une cause, placer les pions là où il faut et quand il faut. Les subtilités de langage diplomatique ne lui sont pas inconnues.
Lorsque j’ai émis l’hypothèse que M. Azoulay joue le rôle de sayan dans l’intérêt d’Israël et pour le renforcement de sa politique expansionniste, c’est parce qu’il joue depuis plus de 20 ans le rôle d’éminence grise, intermédiaire discret et utile pour tisser ces liens qui échappent au commun des mortels et qui font une politique.
C’est quoi au juste un sayan ? Je ne le dis pas pour M. Azoulay qui doit avoir sa petite idée. Un sayan est un juif sioniste qui, par « patriotisme », collabore avec les institutions sionistes, le Mossad en particulier, pour promouvoir les intérêts de sa patrie de cœur.
Ce sont ainsi des dizaines de milliers de juifs qui, à travers le monde, et jouant le jeu du double patriotisme, apportent leur aide médiatique, politique, économique, matérielle, tout ce qui peut faire avancer la cause d’Israël.
Dans le cas de M. Azoulay, sa « contribution » a consisté à tisser patiemment et profondément des liens entre les responsables israéliens et des hommes politiques arabes en général et marocains en particulier, pour favoriser ce qu’on appelle euphémiquement une meilleure compréhension, mais en réalité pour ancrer la présence israélienne dans les cercles dirigeants arabes, la rendre normale, utile même, et finalement incontournable.
On me dirait, si c’est pour le bien de la paix, pourquoi pas ? Qui l’en blâmerait ? Or c’est tout le contraire qui s’est produit. Le régime sioniste a fait son trou dans les sociétés arabes sans rien lâcher sur sa politique. La Cisjordanie est dépecée, quadrillée, harcelée. Le nombre des colons sionistes est passé en 20 ans de « pourparlers » publics ou secrets de 150 000 à 550 000, soit 350% d’augmentation. M. Azoulay ignore-t-il ces faits et ces chiffres ? Certainement pas. Il se défendrait probablement en disant qu’il faut continuer à négocier. Jusqu’à arriver à 1 million de colons peut-être.
L’arnaque sioniste a été, et est toujours, de faire croire aux négociations et à la volonté de paix, en comptant sur les sayanim, comme M. Azoulay, et leurs complices arabes, pour répandre cette atmosphère de dialogue, d’embrassades, de progrès.
M. Azoulay prétend être pro-palestinien depuis l’âge de 13 ans. J’avoue ne pas avoir eu cette précocité. Mais moi je mène campagne contre l’occupation sioniste et ses méfaits. Qu’a fait M. Azoulay depuis ce temps pour combattre l’occupation, les destructions, les détentions arbitraires, l’annexion de Jérusalem, la répression brutale à Gaza, etc. ? Ah oui ! Il doit être pour un Etat palestinien. Eh bien, il n’est pas le seul, il est même en bonne compagnie. Bush, Sharon, Blair, Sarkozy, Netanyahou… ils sont tous pour un Etat palestinien. Mais ils attendent que les Palestiniens soient mûrs pour accepter un Banthoustan à l’ombre d’Israël.
Cessons cette hypocrisie. Les pro-palestiniens à la sauce Azoulay et autres complices arabes se cantonnent dans des incantations sur le dialogue, la paix, les 2 Etats, mais ferment les yeux sur le reste, car leurs intérêts sont indissolublement liés à ceux de l’Amérique impériale en général et de son vassal impérial au Proche-Orient en particulier.
Lorsque j’ai émis l’hypothèse que M. Azoulay joue le rôle de sayan dans l’intérêt d’Israël et pour le renforcement de sa politique expansionniste, c’est parce qu’il joue depuis plus de 20 ans le rôle d’éminence grise, intermédiaire discret et utile pour tisser ces liens qui échappent au commun des mortels et qui font une politique.
C’est quoi au juste un sayan ? Je ne le dis pas pour M. Azoulay qui doit avoir sa petite idée. Un sayan est un juif sioniste qui, par « patriotisme », collabore avec les institutions sionistes, le Mossad en particulier, pour promouvoir les intérêts de sa patrie de cœur.
Ce sont ainsi des dizaines de milliers de juifs qui, à travers le monde, et jouant le jeu du double patriotisme, apportent leur aide médiatique, politique, économique, matérielle, tout ce qui peut faire avancer la cause d’Israël.
Dans le cas de M. Azoulay, sa « contribution » a consisté à tisser patiemment et profondément des liens entre les responsables israéliens et des hommes politiques arabes en général et marocains en particulier, pour favoriser ce qu’on appelle euphémiquement une meilleure compréhension, mais en réalité pour ancrer la présence israélienne dans les cercles dirigeants arabes, la rendre normale, utile même, et finalement incontournable.
On me dirait, si c’est pour le bien de la paix, pourquoi pas ? Qui l’en blâmerait ? Or c’est tout le contraire qui s’est produit. Le régime sioniste a fait son trou dans les sociétés arabes sans rien lâcher sur sa politique. La Cisjordanie est dépecée, quadrillée, harcelée. Le nombre des colons sionistes est passé en 20 ans de « pourparlers » publics ou secrets de 150 000 à 550 000, soit 350% d’augmentation. M. Azoulay ignore-t-il ces faits et ces chiffres ? Certainement pas. Il se défendrait probablement en disant qu’il faut continuer à négocier. Jusqu’à arriver à 1 million de colons peut-être.
L’arnaque sioniste a été, et est toujours, de faire croire aux négociations et à la volonté de paix, en comptant sur les sayanim, comme M. Azoulay, et leurs complices arabes, pour répandre cette atmosphère de dialogue, d’embrassades, de progrès.
M. Azoulay prétend être pro-palestinien depuis l’âge de 13 ans. J’avoue ne pas avoir eu cette précocité. Mais moi je mène campagne contre l’occupation sioniste et ses méfaits. Qu’a fait M. Azoulay depuis ce temps pour combattre l’occupation, les destructions, les détentions arbitraires, l’annexion de Jérusalem, la répression brutale à Gaza, etc. ? Ah oui ! Il doit être pour un Etat palestinien. Eh bien, il n’est pas le seul, il est même en bonne compagnie. Bush, Sharon, Blair, Sarkozy, Netanyahou… ils sont tous pour un Etat palestinien. Mais ils attendent que les Palestiniens soient mûrs pour accepter un Banthoustan à l’ombre d’Israël.
Cessons cette hypocrisie. Les pro-palestiniens à la sauce Azoulay et autres complices arabes se cantonnent dans des incantations sur le dialogue, la paix, les 2 Etats, mais ferment les yeux sur le reste, car leurs intérêts sont indissolublement liés à ceux de l’Amérique impériale en général et de son vassal impérial au Proche-Orient en particulier.
mercredi 15 février 2012
La "détention administrative": une spécificité coloniale sioniste
Les autorités israéliennes doivent remettre en liberté un détenu palestinien ou l'inculper d'une infraction prévue par la loi et le juger dans les meilleurs délais, a déclaré Amnesty International alors que l'on craint que cet homme ne meure en détention, après plus de 50 jours de grève de la faim.
Les autorités israéliennes doivent remettre en liberté un détenu palestinien ou l'inculper d'une infraction prévue par la loi et le juger dans les meilleurs délais, a déclaré Amnesty International alors que l'on craint que cet homme ne meure en détention, après plus de 50 jours de grève de la faim.
Khader Adnan, 33 ans, a été arrêté le 17 décembre 2011 chez lui dans le village d'Arrabe, près de Jénine, en Cisjordanie occupée, après que les forces de sécurité israéliennes eurent fait irruption à son domicile très tôt ce matin-là.
Ce boulanger serait affilié au mouvement du Djihad islamique.
Mercredi 1er février, un tribunal militaire a procédé à un réexamen du cas de Khader Adnan mais le juge n'en a pas encore annoncé le résultat – une libération, une réduction de sa durée de détention ou la confirmation de l'ordre de détention émis à son encontre.
« Cela fait des années qu'Israël recourt à la détention administrative pour enfermer des militants palestiniens sans les juger ni même les inculper », a déclaré Ann Harrison, directrice adjointe du programme Moyen-Orient d'Amnesty International.
« Les chefs militaires ont la possibilité de renouveler les ordres de détention plusieurs fois ; les détenus sont donc dans les faits susceptibles d'être incarcérés pour une durée indéterminée. Cette procédure constitue une violation de leur droit à un procès équitable, qui est garanti par des dispositions du droit international qu'Israël est tenu de respecter. »
Les autorités israéliennes doivent remettre en liberté un détenu palestinien ou l'inculper d'une infraction prévue par la loi et le juger dans les meilleurs délais, a déclaré Amnesty International alors que l'on craint que cet homme ne meure en détention, après plus de 50 jours de grève de la faim.
Khader Adnan, 33 ans, a été arrêté le 17 décembre 2011 chez lui dans le village d'Arrabe, près de Jénine, en Cisjordanie occupée, après que les forces de sécurité israéliennes eurent fait irruption à son domicile très tôt ce matin-là.
Ce boulanger serait affilié au mouvement du Djihad islamique.
Mercredi 1er février, un tribunal militaire a procédé à un réexamen du cas de Khader Adnan mais le juge n'en a pas encore annoncé le résultat – une libération, une réduction de sa durée de détention ou la confirmation de l'ordre de détention émis à son encontre.
« Cela fait des années qu'Israël recourt à la détention administrative pour enfermer des militants palestiniens sans les juger ni même les inculper », a déclaré Ann Harrison, directrice adjointe du programme Moyen-Orient d'Amnesty International.
« Les chefs militaires ont la possibilité de renouveler les ordres de détention plusieurs fois ; les détenus sont donc dans les faits susceptibles d'être incarcérés pour une durée indéterminée. Cette procédure constitue une violation de leur droit à un procès équitable, qui est garanti par des dispositions du droit international qu'Israël est tenu de respecter. »
mardi 14 février 2012
Le CRIF veut faire interdire un colloque sur l'apartheid sioniste dans une université parisienne
Le Crif a vivement protesté lundi dans un communiqué à propos de l'organisation d'un colloque sur Israël par le Collectif Palestine fin février à l'université de Paris VIII à Saint-Denis. Le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) "dénonce un colloque discriminatoire anti-israélien à l'université Paris VIII" et se dit "particulièrement heurté". Le Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme demande pour sa part à l'université de pas abriter le colloque qui "incite à la haine de l'Etat juif (...) et pousse à l'acte antisémite" et menace de déposer plainte.
Cette manifestation qui se tiendra les 27 et 28 février est intitulée: "Des nouvelles approches sociologiques, historiques et juridiques à l'appel au boycott international: Israël, un Etat d'apartheid?", a indiqué le président de l'université Pascal Binczak. Le colloque doit se tenir dans les locaux de cette université, mais "ce n'est pas Paris VIII qui l'organise", a insisté Pascal Binczak. "Au nom de la liberté d'expression, les universités ont la quasi-obligation de mettre à disposition des salles à la demande des étudiants et des enseignants pour que soient organisées des manifestations scientifiques et culturelles", a-t-il expliqué.
Cette manifestation qui se tiendra les 27 et 28 février est intitulée: "Des nouvelles approches sociologiques, historiques et juridiques à l'appel au boycott international: Israël, un Etat d'apartheid?", a indiqué le président de l'université Pascal Binczak. Le colloque doit se tenir dans les locaux de cette université, mais "ce n'est pas Paris VIII qui l'organise", a insisté Pascal Binczak. "Au nom de la liberté d'expression, les universités ont la quasi-obligation de mettre à disposition des salles à la demande des étudiants et des enseignants pour que soient organisées des manifestations scientifiques et culturelles", a-t-il expliqué.
lundi 13 février 2012
APARTHEID sioniste: Rapport accablant de l'ONU
JERUSALEM (AFP) - Israël mène une "stratégie de judaïsation" à Jérusalem-Est annexée et en Cisjordanie occupée ainsi que dans les zones du territoire israélien où vit une minorité arabe, a accusé dimanche une représentante de l'ONU.
"De la Galilée au Néguev en passant par Jérusalem et la Cisjordanie, les autorités israéliennes ont adopté un modèle de développement territorial qui exclut les minorités, les discrimine et les déplace", a déclaré Raquel Rolnik, rapporteuse spéciale de l'ONU sur le logement convenable, lors d'une conférence de presse à Jérusalem.
"Ce modèle affecte plus particulièrement les communautés palestiniennes qui se trouvent proches de colonies juives en développement accéléré", a déploré Mme Rolnik, en présentant aux médias ses conclusions préliminaires à l'issue d'une mission de deux semaines en Israël et dans les Territoires palestiniens.
"De manière générale, il est clair que les politiques et les pratiques israéliennes à l'égard de la population palestinienne à Jérusalem-Est et en Cisjordanie violent les droits de l'Homme et le droit humanitaire international", a-t-elle estimé.
Les Palestiniens accusent Israël de les pousser à quitter Jérusalem notamment en rendant très difficile l'obtention de permis de construire.
L'Union européenne a récemment critiqué "la détérioration de la situation" à Jérusalem-Est en 2011. Dans un rapport annuel, les chefs de mission de l'UE à Jérusalem et à Ramallah (Cisjordanie) ont accusé Israël de "miner systématiquement la présence palestinienne dans la ville par le biais de l'expansion continue des colonies".
En Cisjordanie, les habitants des zones palestiniennes sous contrôle militaire et civil israélien sont confrontés aux restrictions de construire et à l'extension des implantations.
La stratégie d'Israël est de "fragmenter" la Cisjordanie pour entraver la formation d'un Etat palestinien viable, dénoncent les Palestiniens.
Enfin, les communautés bédouines, en Cisjordanie et en Israël, sont souvent en conflit avec les autorités israéliennes qui veulent les sédentariser hors de leurs territoires traditionnels.
La rapporteuse de l'ONU, une architecte et urbaniste, a aussi mentionné les "conditions difficiles auxquelles est confrontée la population" dans la bande de Gaza, en soulignant les "effets néfastes du blocus sur le logement et les infrastructures."
Israël a imposé un contrôle strict des denrées qui entrent dans l'enclave palestinienne, rendant difficile les constructions à Gaza en dépit d'un assouplissement de l'embargo terrestre.
Les conclusions de Mme Rolnik doivent être présentées dans un rapport final qui sera adressé à Israël et aux Palestiniens en mai 2013.
© 2012 AFP
"De la Galilée au Néguev en passant par Jérusalem et la Cisjordanie, les autorités israéliennes ont adopté un modèle de développement territorial qui exclut les minorités, les discrimine et les déplace", a déclaré Raquel Rolnik, rapporteuse spéciale de l'ONU sur le logement convenable, lors d'une conférence de presse à Jérusalem.
"Ce modèle affecte plus particulièrement les communautés palestiniennes qui se trouvent proches de colonies juives en développement accéléré", a déploré Mme Rolnik, en présentant aux médias ses conclusions préliminaires à l'issue d'une mission de deux semaines en Israël et dans les Territoires palestiniens.
"De manière générale, il est clair que les politiques et les pratiques israéliennes à l'égard de la population palestinienne à Jérusalem-Est et en Cisjordanie violent les droits de l'Homme et le droit humanitaire international", a-t-elle estimé.
Les Palestiniens accusent Israël de les pousser à quitter Jérusalem notamment en rendant très difficile l'obtention de permis de construire.
L'Union européenne a récemment critiqué "la détérioration de la situation" à Jérusalem-Est en 2011. Dans un rapport annuel, les chefs de mission de l'UE à Jérusalem et à Ramallah (Cisjordanie) ont accusé Israël de "miner systématiquement la présence palestinienne dans la ville par le biais de l'expansion continue des colonies".
En Cisjordanie, les habitants des zones palestiniennes sous contrôle militaire et civil israélien sont confrontés aux restrictions de construire et à l'extension des implantations.
La stratégie d'Israël est de "fragmenter" la Cisjordanie pour entraver la formation d'un Etat palestinien viable, dénoncent les Palestiniens.
Enfin, les communautés bédouines, en Cisjordanie et en Israël, sont souvent en conflit avec les autorités israéliennes qui veulent les sédentariser hors de leurs territoires traditionnels.
La rapporteuse de l'ONU, une architecte et urbaniste, a aussi mentionné les "conditions difficiles auxquelles est confrontée la population" dans la bande de Gaza, en soulignant les "effets néfastes du blocus sur le logement et les infrastructures."
Israël a imposé un contrôle strict des denrées qui entrent dans l'enclave palestinienne, rendant difficile les constructions à Gaza en dépit d'un assouplissement de l'embargo terrestre.
Les conclusions de Mme Rolnik doivent être présentées dans un rapport final qui sera adressé à Israël et aux Palestiniens en mai 2013.
© 2012 AFP
APARTHEID sioniste: Rapport accablant de l'ONU
ERUSALEM (AFP) - Israël mène une "stratégie de judaïsation" à Jérusalem-Est annexée et en Cisjordanie occupée ainsi que dans les zones du territoire israélien où vit une minorité arabe, a accusé dimanche une représentante de l'ONU.
"De la Galilée au Néguev en passant par Jérusalem et la Cisjordanie, les autorités israéliennes ont adopté un modèle de développement territorial qui exclut les minorités, les discrimine et les déplace", a déclaré Raquel Rolnik, rapporteuse spéciale de l'ONU sur le logement convenable, lors d'une conférence de presse à Jérusalem.
"Ce modèle affecte plus particulièrement les communautés palestiniennes qui se trouvent proches de colonies juives en développement accéléré", a déploré Mme Rolnik, en présentant aux médias ses conclusions préliminaires à l'issue d'une mission de deux semaines en Israël et dans les Territoires palestiniens.
"De manière générale, il est clair que les politiques et les pratiques israéliennes à l'égard de la population palestinienne à Jérusalem-Est et en Cisjordanie violent les droits de l'Homme et le droit humanitaire international", a-t-elle estimé.
Les Palestiniens accusent Israël de les pousser à quitter Jérusalem notamment en rendant très difficile l'obtention de permis de construire.
L'Union européenne a récemment critiqué "la détérioration de la situation" à Jérusalem-Est en 2011. Dans un rapport annuel, les chefs de mission de l'UE à Jérusalem et à Ramallah (Cisjordanie) ont accusé Israël de "miner systématiquement la présence palestinienne dans la ville par le biais de l'expansion continue des colonies".
En Cisjordanie, les habitants des zones palestiniennes sous contrôle militaire et civil israélien sont confrontés aux restrictions de construire et à l'extension des implantations.
La stratégie d'Israël est de "fragmenter" la Cisjordanie pour entraver la formation d'un Etat palestinien viable, dénoncent les Palestiniens.
Enfin, les communautés bédouines, en Cisjordanie et en Israël, sont souvent en conflit avec les autorités israéliennes qui veulent les sédentariser hors de leurs territoires traditionnels.
La rapporteuse de l'ONU, une architecte et urbaniste, a aussi mentionné les "conditions difficiles auxquelles est confrontée la population" dans la bande de Gaza, en soulignant les "effets néfastes du blocus sur le logement et les infrastructures."
Israël a imposé un contrôle strict des denrées qui entrent dans l'enclave palestinienne, rendant difficile les constructions à Gaza en dépit d'un assouplissement de l'embargo terrestre.
Les conclusions de Mme Rolnik doivent être présentées dans un rapport final qui sera adressé à Israël et aux Palestiniens en mai 2013.
© 2012 AFP
"De la Galilée au Néguev en passant par Jérusalem et la Cisjordanie, les autorités israéliennes ont adopté un modèle de développement territorial qui exclut les minorités, les discrimine et les déplace", a déclaré Raquel Rolnik, rapporteuse spéciale de l'ONU sur le logement convenable, lors d'une conférence de presse à Jérusalem.
"Ce modèle affecte plus particulièrement les communautés palestiniennes qui se trouvent proches de colonies juives en développement accéléré", a déploré Mme Rolnik, en présentant aux médias ses conclusions préliminaires à l'issue d'une mission de deux semaines en Israël et dans les Territoires palestiniens.
"De manière générale, il est clair que les politiques et les pratiques israéliennes à l'égard de la population palestinienne à Jérusalem-Est et en Cisjordanie violent les droits de l'Homme et le droit humanitaire international", a-t-elle estimé.
Les Palestiniens accusent Israël de les pousser à quitter Jérusalem notamment en rendant très difficile l'obtention de permis de construire.
L'Union européenne a récemment critiqué "la détérioration de la situation" à Jérusalem-Est en 2011. Dans un rapport annuel, les chefs de mission de l'UE à Jérusalem et à Ramallah (Cisjordanie) ont accusé Israël de "miner systématiquement la présence palestinienne dans la ville par le biais de l'expansion continue des colonies".
En Cisjordanie, les habitants des zones palestiniennes sous contrôle militaire et civil israélien sont confrontés aux restrictions de construire et à l'extension des implantations.
La stratégie d'Israël est de "fragmenter" la Cisjordanie pour entraver la formation d'un Etat palestinien viable, dénoncent les Palestiniens.
Enfin, les communautés bédouines, en Cisjordanie et en Israël, sont souvent en conflit avec les autorités israéliennes qui veulent les sédentariser hors de leurs territoires traditionnels.
La rapporteuse de l'ONU, une architecte et urbaniste, a aussi mentionné les "conditions difficiles auxquelles est confrontée la population" dans la bande de Gaza, en soulignant les "effets néfastes du blocus sur le logement et les infrastructures."
Israël a imposé un contrôle strict des denrées qui entrent dans l'enclave palestinienne, rendant difficile les constructions à Gaza en dépit d'un assouplissement de l'embargo terrestre.
Les conclusions de Mme Rolnik doivent être présentées dans un rapport final qui sera adressé à Israël et aux Palestiniens en mai 2013.
© 2012 AFP
samedi 11 février 2012
Le DISCOURS d'un SIONISTE de GÔÔÔÔÔCHE
Lisez et dégustez. A découvrir sur mon blog "dé-manipulations". Ce sioniste de gauche habitant en Israël prétend être pour la démocratie et la justice pour 2 peuples. Comme cette engeance ne représente plus que 10 à 15% des Israéliens juifs, imaginez ce que pensent le centre, la droite, l'extrême-droite, les colons, et les fanatiques religieux avec à leur tête leur guide "spirituel" le raciste Ovadia Yossef:
"Si "l'autre", les Arabes vivant dans le territoire de l'ex-Palestine mandataire, se sont laisses deposseder, qui faut-il blamer? D'abord et avant tout leurs dirigeants qui les ont persuades de fuir "les Juifs" en 1948. De fuir "momentanement", afin de revenir quelques jours ou quelques semaines plus tard piller, violer, assassiner, detruire tout souvenir des Juifs, avec le soutien de 5 armees Arabes coalisees.Ce "momentanement" dure depuis 64 ans...
En attendant, les citoyen Arabes de l'Etat d'Israel jouissent d'un niveau de vie, et de democratie, inconnus dans l'espace arabo-musulman.Voyez les journaux Arabes israeliens. Voyez les deputes Arabes a la Knesset (parlement) israelien. Voyez la liberte de parole, de reunion, d'association des Arabes israelien. En Egypte ou au Yemen, ils en bavent de jalousie!"
"Si "l'autre", les Arabes vivant dans le territoire de l'ex-Palestine mandataire, se sont laisses deposseder, qui faut-il blamer? D'abord et avant tout leurs dirigeants qui les ont persuades de fuir "les Juifs" en 1948. De fuir "momentanement", afin de revenir quelques jours ou quelques semaines plus tard piller, violer, assassiner, detruire tout souvenir des Juifs, avec le soutien de 5 armees Arabes coalisees.Ce "momentanement" dure depuis 64 ans...
En attendant, les citoyen Arabes de l'Etat d'Israel jouissent d'un niveau de vie, et de democratie, inconnus dans l'espace arabo-musulman.Voyez les journaux Arabes israeliens. Voyez les deputes Arabes a la Knesset (parlement) israelien. Voyez la liberte de parole, de reunion, d'association des Arabes israelien. En Egypte ou au Yemen, ils en bavent de jalousie!"
mercredi 8 février 2012
L'EMPIRE SIONISTE S'ETEND A CHYPRE
"Selon la presse chypriote, l’Etat Juif devrait demander, par la voix du Premier Ministre Netanyahu, l’ouverture d’une base aérienne israélienne sur l’île de Chypre.
Il est pour l’heure impossible de savoir s’il s’agit d’une présence permanente de l’Air force israélienne qui est demandée ou simplement la présence d’un soutien logistique israélien aux opérations en cours dans la région.
L’analyste géopolitique israélien, le Professeur Genheim de Beer Sheva, estime mercredi dans une interview à JSSNews qu’Israël « cherche à protéger ses champs énergétiques, principalement de gaz, en Méditerranée. C’est là la seule raison pour laquelle Israël veut sa base à Chypre : par pour aller surveiller Gaza! »
Pour l’heure, les pourparlers n’en sont qu’à leur stade initial mais il semble que Netanyahu fera le déplacement dans l’ile d’ici la fin du mois pour proposer un accord. La Grèce, qui est elle-même propriétaire d’une base aérienne à Chypre, aurait accepté la demande de Netanyahu et pousserait en faveur d’une résolution positive auprès du gouvernement chypriote. De fait : Israël partagerait la base aérienne de Paphos avec les chasseurs F-16 grecs.
Ni l’ambassade de Chypre à Tel Aviv, ni le bureau du Premier ministre n’ont confirmé les rapports.
Le mois dernier, le ministre de la Défense Ehud Barak et son homologue chypriote Demetris Eliades ont signé deux accords visant à renforcer la coopération de défense entre les pays. Les liens entre les deux pays se sont considérablement améliorés ces trois dernières années, surtout depuis la crise israélo-turque.
Amos Lerah – JSSNews
Il est pour l’heure impossible de savoir s’il s’agit d’une présence permanente de l’Air force israélienne qui est demandée ou simplement la présence d’un soutien logistique israélien aux opérations en cours dans la région.
L’analyste géopolitique israélien, le Professeur Genheim de Beer Sheva, estime mercredi dans une interview à JSSNews qu’Israël « cherche à protéger ses champs énergétiques, principalement de gaz, en Méditerranée. C’est là la seule raison pour laquelle Israël veut sa base à Chypre : par pour aller surveiller Gaza! »
Pour l’heure, les pourparlers n’en sont qu’à leur stade initial mais il semble que Netanyahu fera le déplacement dans l’ile d’ici la fin du mois pour proposer un accord. La Grèce, qui est elle-même propriétaire d’une base aérienne à Chypre, aurait accepté la demande de Netanyahu et pousserait en faveur d’une résolution positive auprès du gouvernement chypriote. De fait : Israël partagerait la base aérienne de Paphos avec les chasseurs F-16 grecs.
Ni l’ambassade de Chypre à Tel Aviv, ni le bureau du Premier ministre n’ont confirmé les rapports.
Le mois dernier, le ministre de la Défense Ehud Barak et son homologue chypriote Demetris Eliades ont signé deux accords visant à renforcer la coopération de défense entre les pays. Les liens entre les deux pays se sont considérablement améliorés ces trois dernières années, surtout depuis la crise israélo-turque.
Amos Lerah – JSSNews
SARKOZY: au garde-à-vous devant les judéo-sionistes
Avant d'assister au dîner du CRIF et de se soumettre à ses désirs, Sarkozy a trouvé le temps de recevoir le caporal de l'armée d'occupation sioniste enlevé par la résistance palestinienne.
Communiqué du CRIF: "Le jeune homme, visiblement affaibli, n'a fait aucune déclaration à la presse, s'engouffrant immédiatement dans une voiture et laissant son père s'exprimer. "Nous sommes très heureux d'être ici au palais de l'Elysée et nous avons remercié le président Nicolas Sarkozy et l'équipe de l'Elysée pour leurs efforts et leur engagement" en vue de la libération de Gilad, "nous sommes très émus", a affirmé Noam Shalit. "Le président a posé des questions à Gilad", a-t-il ajouté sans autre précision.
Noam et Aviva Shalit assisteront ce soir au dîner annuel du CRIF, mais pas leur fils. "Son état de santé ne le permet pas", expliquent des proches de la famille."
Communiqué du CRIF: "Le jeune homme, visiblement affaibli, n'a fait aucune déclaration à la presse, s'engouffrant immédiatement dans une voiture et laissant son père s'exprimer. "Nous sommes très heureux d'être ici au palais de l'Elysée et nous avons remercié le président Nicolas Sarkozy et l'équipe de l'Elysée pour leurs efforts et leur engagement" en vue de la libération de Gilad, "nous sommes très émus", a affirmé Noam Shalit. "Le président a posé des questions à Gilad", a-t-il ajouté sans autre précision.
Noam et Aviva Shalit assisteront ce soir au dîner annuel du CRIF, mais pas leur fils. "Son état de santé ne le permet pas", expliquent des proches de la famille."
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