J'ai reçu ce 1er mail le 14 septembre auquel j'ai répondu favorablement:
Bonjour Monsieur,
Je viens de lire avec beaucoup
d’intérêt votre livre "Le printemps des sayanim". J'y ai découvert un
monde que je ne soupçonnais pas. C'est passionnant pour quelqu'un comme
moi qui milite depuis toujours pour la création d'un Etat palestinien
dans les frontières
de 1967 avec Jérusalem comme capitale. Je suis Maire de Longlaville,
une petite ville de 2500 habitants au point triple du Luxembourg et de
la Belgique.
Le dimanche 30 novembre à 17h
je souhaite organiser un débat sur la situation dans cette région du
monde dans la salle culturelle de ma ville (un petit amphithéâtre de 180
places) . Je suis en contact avec les représentants de la Palestine
auprès de l'Union
européenne à Bruxelles. J'ai déjà, c'est certain, l'accord d'un prêtre
palestinien. Je serai honoré si vous pouviez également
être présent.
Recevez l'expression de mes salutations les meilleurs
Jean-Marc Duriez
Maire de Longlaville
Mais dès le lendemain, changement de ton. Nouveau mail, du même:
Monsieur,
Je vous avais sollicité pour participer à une conférence sur la Palestine le 30 novembre dans ma ville.
Vous y aviez répondu positivement.
Cependant après avoir parcouru votre blog, je me vois obligé de retirer immédiatement mon invitation.
Votre engagement pour le droit du peuple palestinien à un Etat est sans doute sincère.
Mais
votre adhésion à la théorie du complot du 11 septembre , votre soutien à
Dieudonné (qui fait monter sur scène le négationniste Faurisson) et
plus encore votre proximité avec Alain Soral sont totalement
incompatibles avec les valeurs
humanistes que je porte.
Salutations
S'il avait bien lu "le printemps des Sayanim", ce Monsieur aurait dû comprendre que les agents judéo-sionistes du Mossad infiltrés dans toutes les couches de la société française, tracent des lignes rouges pour décrédibiliser toute critique radicale et justifiée du sionisme. Avec des soutiens pareils, la Palestine n'est pas près de voir le jour. Les colons sionistes peuvent poursuivre tranquillement leur oeuvre colonisatrice.
Jacob Cohen