lundi 28 novembre 2011

La "novlangue" sioniste du CRIF

La "novlangue" consiste à exprimer une réalité par un euphémisme pour lui enlever son caractère brutal ou illégitime.
Reçus à déjeuner par leur complice Sarkozy, les dirigeants du CRIF ont présenté leurs exigences:
Le terme colonies devrait être remplacé par implantations, plus neutre, car "colonies" renvoie à ce qui se faisait dans les territoires colonisés par l'Occident, ce qui fait mal aux oreilles sensibles des "judéo-sionistes".
Pour ces derniers, il n'y a pas de "territoires occupés", mais seulement "disputés", d'ailleurs dans leur grande générosité, les sionistes accepteraient de rétrocéder jusqu'à 40% de ce qui reste de la patrie palestinienne.
A condition d'assurer la "sécurité" de l'entité sioniste. Vous comprenez, la puissance nucléaire et les armements les plus modernes ainsi que le soutien inconditionnel de l'Amérique et de l'Europe ne suffisent pas à tranquilliser les sionistes. Par "sécurité", notion somme toute compréhensible, le régime sioniste entend garder le contrôle des frontières et de l'espace aérien d'un hypothétique bantoustan éventuel que la générosité sioniste accorderait aux sous-hommes qu'ils dominent.
D'après les responsables du CRIF leur allié et complice Sarkozy a prêté une oreille attentive à leurs doléances.

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