mercredi 18 mai 2016

Jacob Cohen boycotte la justice française



Lettre ouverte au Tribunal de Grande Instance de Paris
14e chambre correctionnelle. Audience du 31 mai 2016
No Parquet: 12185050023
 
Procès (présumé) de la LDJ
Monsieur le président,
Je suis cité comme victime à ce procès, suite à mon agression du 5 juillet 2012. Mais je vous annonce que je n’ai pas l’intention de m’y présenter.
Je ne participerai pas à cette parodie de justice et ne la cautionnerai pas par ma présence. Votre « justice » dite française est totalement soumise au lobby judéo-sioniste lorsqu’il s’agit de traiter des questions impliquant des représentants de la « Communauté organisée ».
Et je vais vous en apporter la preuve.
Le 12 mars 2012, juste avant de donner une conférence dans un café du 6e arrondissement, 7 à 8 individus m’ont agressé, insulté, menacé. C’était une agression préméditée et en réunion. Assumée, signée et revendiquée, puisque la LDJ a posté sur son site la vidéo de mon agression. Accompagnée de commentaires qui auraient mérité à eux seul l’attention du Parquet, d’ordinaire si pointilleux.
En tant que magistrat, vous savez ce que cela aurait dû coûter aux agresseurs.
Or, que croyez-vous qu’il arriva ? Ma plainte a été enterrée. Sans aucune instruction. Après un « délai de décence », l’affaire a été classée sans suite. Il ne s’est rien passé. Circulez ! Il n’y rien à voir.
Enfin quoi ! Dans la France « sionisée » d’aujourd’hui, on ne peut pas condamner des juifs sionistes ! Je vous laisse imaginer si un groupe de fanatiques barbus, islamistes, hargneux, violents (pardon pour le quadruple pléonasme)  s’était attaqué de la sorte à un écrivain juif du CRIF. Au minimum une réception à Matignon.

Quels ont été les mécanismes mystérieux qui ont amené la tenue de ce procès du 31 mai ? La promesse d’un sursis ? Des garanties occultes ? Ou l’exfiltration des accusés dans leur vraie patrie, Israël ?
Notre justice s’est toujours montrée à la hauteur de sa réputation : Couchée devant le Pouvoir. L’ironie de l’Histoire veut que cette « justice » qui avait appliqué avec un zèle digne d’éloges les lois de Vichy contre les avocats et les magistrats juifs, se met au service de ceux qu’elle avait jadis traqués, en fermant les yeux sur leurs exactions criminelles ( les trafiquants essentiellement juifs à la TVA et à la taxe carbone portant sur des milliards et coulant des jours heureux en Israël) en offrant l’impunité à leurs nervis (LDJ et Bétar) en cédant à toutes leurs exigences (condamnation de la « quenelle » ou création d’un délit sans aucune base juridique, cela s’appelle de la forfaiture) et en couvrant les parties civiles juives de rentrées financières sous formes d’amendes exorbitantes.
Bref, les judéo-sionistes ont aujourd’hui la belle vie. Mais demain ? Sont-ils conscients que cette même « justice » se retournera contre eux lorsque les rapports de force auront évolué ? Avec la hargne de ceux qui prennent leur revanche sur des décennies d’humiliations et de soumissions.

Votre parodie de « justice », votre mascarade, votre veulerie, vous la ferez bien entre vous, sans ma présence. Veillez tout de même, Monsieur le Président, à ne rien faire qui puisse froisser la susceptibilité extrême du président du CRIF. On ne connaît pas précisément les arcanes des hautes nominations, mais une échine souple et une compréhension intuitive des directives ne sont pas de trop pour arriver. Mais puisque vous êtes là où vous êtes, je ne me fais aucune inquiétude. L’honneur des bons juifs sortira lavé de ce mystérieux procès.

Jacob Cohen
Paris, le 21 mai 2016.