vendredi 25 juin 2010

TV5 Relais de la propagande sioniste

Le grand journal de ce matin (25 juin) a ouvert sur le titre principal: 4e anniversaire de la détention de Gilad Shalit, "otage" du Hamas. Et interview du porte-parole du gouvernement israélien sur les "violations du droit international par le mouvement terroriste".
On croit rêver!
Pas un mot sur les 11 000 prisonniers palestiniens, soumis en majorité à la "Détention administrative", c'est-à-dire la possibilité légale de détenir toute personne pour des raisons de sécurité, sans jugement, sans procès, et ça peut durer des années.
Pas un mot non plus sur les 45 personnalités politiques du Hamas (députés, ministres, conseillers municipaux) kidnappés par l'armée d'occupation suite à l'enlèvement du soldat israélien. Cela s'appelle des représailles collectives et qui rappellent une certaine période de l'histoire de France.
Les "journalistes" de TV5 connaissent-ils ces faits ou obéissent-ils à des instructions?

J.C. yacobous@yahoo.fr
Dernier roman: Le Printemps des Sayanim, éditions l'Harmattan.

jeudi 24 juin 2010

Gesticulations ridicules du Maroc

Le Maroc a condamné les intentions israéliennes de ''détruire les maisons de Palestiniens à l'est de Jérusalem'' et a appelé la communauté internationale à ''intervenir immédiatement'' pour stopper cette ''décision illégale'', ont indiqué des sources officielles à Rabat. Le royaume marocain a par ailleurs fait savoir qu'il ''rejetait totalement le projet israélien de bâtir un parc archéologique à Jérusalem'' menaçant Israël de ''graves conséquences'' à ce sujet.

Le Maroc, dont on connaît les liens profonds, complices, et ce depuis son indépendance en 1956, avec les institutions sionistes et en particulier le Mossad, se ridiculise avec ce communiqué verbeux et lâche. Ce sont les sionistes qui doivent se marrer sous cape, eux qui ont un souverain mépris pour les Arabes.





Dernier roman: Le Printemps des Sayanim, éditions l'Harmattan

mercredi 23 juin 2010

L'EUROPE CONSERVATRICE AVEC L'ETAT SIONISTE

Branle-bas de combat chez les néo-conservateurs européens pour défendre leur allié et chien de garde qui sait si bien museler les velléités arabes. Témoin cette nouvelle:
« Les amis d’Israël ». Voici le nom du mouvement lancé par l’ex-Premier Ministre espagnol José Maria Aznar, et auquel se sont jointes plusieurs personnalités de tous bords.
Ce groupe se définissant comme « une initiative pour lutter contre la délégitimation de l’Etat d’Israël » a plusieurs objectifs notamment celui de démontrer que le destin de l’Occident est inexorablement lié à celui d’Israël.
De ce fait, refuser à Israël le droit de se défendre semble être une erreur stratégique à plusieurs niveaux.
Eh oui, on essaie de maintenir le mythe du petit pays qui se défend alors qu'il multiplie les agressions, l'occupation, la colonisation, les destructions, les arrestations arbitraires...
Enfin, une certaine Europe montre son vrai visage.
Peut-être le signe d'un désarroi grandissant.

J.C. yacobous@yahoo.fr
Dernier roman: Le Printemps des Sayanim, éditions l'Harmattan.



lundi 21 juin 2010

L'Etat sioniste humilie (encore) l'Europe



Le gouvernement allemand a dénoncé dimanche le refus d'Israël de laisser le ministre allemand du Développement Dirk Niebel se rendre à Gaza. Dans une interview ur le site Internet du journal Volkszeitung, M. Niebel a fustigé « une grande erreur de politique étrangère de la part du gouvernement israélien ». De son côté, le chef de la diplomatie Guido Westerwelle a « déploré » la décision du gouvernement israélien et souligné que Berlin, comme toute l'Union européenne, attendait la fin du blocus de Gaza.
 
La liste est longue de ministres européens empêchés de se rendre à Gaza. Rappelons l'humiliant refus opposé à Bernard Kouchner il y a quelques mois.
Mais tous ces ministres se la bouclent et se couchent devant l'arrogance israélienne.
Jusqu'à quand?
 
J.C. yacobous@yahoo.fr
Dernier roman: Le Printemps des Sayanim, éditions l'Harmattan
 
 

dimanche 20 juin 2010

Les otages politiques de l'armée d'occupation sioniste



Israël s'apprête à libérer dimanche le cheikh Naïef Rajoub, l'ancien ministre Hamas des Affaires du Waqf, arrêté en 2006. Il restera de ce fait derrière les barreaux israéliens moins de 10 ex-députés et ministres Hamas arrêtés après la capture de Guilad Shalit.


Voilà le prix qu'a payé le Hamas après l'enlèvement d'un soldat de son armée d'occupation. Suite à cette opération, l'armée israélienne a kidnappé une quarantaine de dirigeants politiques du Hamas, sans procès, sans avocat, sans jugement. Une forme de représailles collectives bien connue des armées d'occupation pour contrer la résistance. Il reste aujourd'hui une dizaine de ces prisonniers, et les médias français continuent inlassablement de parler de "l'otage israélien aux mains du Hamas".

J. C. yacobous@yahoo.fr
Dernier roman: Le Printemps des Sayanim, éditions l'Harmattan.

mardi 15 juin 2010

Le nazisme, épouvantail commode des sionistes

Ce mardi 15 juin, le patron de Radio J a déclaré, avec des accents apocalyptiques: "En 1933, à cette même époque, les nazis ont commencé à brûler les livres des auteurs juifs. En juin 2010, on boycotte un film israélien."
Le Monsieur appelle la Communauté juive à la résistance en assistant à une projection spéciale de ce film dans un cinéma du côté de l'Opéra.
On connaît le recours massif à l'antisémitisme pour contrer toute critique d'Israël. Mais l'évocation du nazisme n'est pas nouveau. Rappelons que Nasser a été traité longtemps de Hitler. Ahmadinedjad également.
Même des sionistes français bon teint s'inquiètent de cette dérive, pas pour des raisons morales, mais c'est de moins en moins payant.

J.C. yacobous@yahoo.fr
Dernier roman: Le Printemps des Sayanim, éditions l'Harmattan.

L'Europe: Double langage

Les 27 pays de l'Union européenne se sont réunis ce 14 juin. Ils ont décidé de durcir les sanctions contre l'Iran, plus que celles prévues par le Conseil de Sécurité.
Et ont exprimé "l'espoir que le blocus de Gaza soit allégé".
C'est tellement énorme que cela se passe de commentaire.

J.C. yacobous@yahoo.fr
Dernier roman: Le Printemps des Sayanim, éditions l'Harmattan.

lundi 14 juin 2010

Le "sionisme" tel qu'en lui-même

ISRAEL
A l'occasion d'un discours à l'assemblée du Likoud mondial, le ministre Benyamin Begin a déclaré "qu'Israël a construit et construira en Judée-Samarie. Nous poursuivrons l'épanouissement de l'entreprise sioniste en construisant aussi à Jérusalem."


Information piquée dans un site sioniste. Et qui ne fait que confirmer le fondement du sionisme. Conquérir toute la terre "promise par l'Eternel", en chasser d'une façon ou d'une autre les occupants légiimes. Cette politique a été menée par tous les partis sionistes. Croire que la gauche est différente de la droite c'est tomber dans un piège grossier.
Et cela démontre que l'"autorité" palestinienne n'est qu'un organe de collaboration. S'il en fallait une preuve de plus, voir avec quels égards les véritables amis d'Israël, entre autre Sarkozy et Obama, ont reçu récemment son président. Et incidemment pourquoi le Hamas est voué aux gémonies.
J. Cohen (yacobous@yahoo.fr)
Dernier roman: Le Printemps des Sayanim, éditions l'Harmattan.

jeudi 10 juin 2010

Le Monde au secours du régime sioniste

Le Monde du 10 juin a publié un éditorial en première page déplorant la vague de boycott culturel qui s'étend à travers la planète, sous prétexte que certains artistes israéliens seraient très critiques à l'égard de la politique de leur gouvernement. Et que ce serait faire le jeu de la droite israélienne. Et que cela s'apparenterait à une forme de censure.
Le problème essentiel que ne soulève pas le journal, et ça se comprend vu le milieu où il baigne, c'est que le drame des Palestiniens va en s'aggravant depuis 1967 et on ne voit pas ce qui pourrait arrêter la folie colonisatrice et ses conséquences dévastatrices.
Lorsque la population israélienne verra concrètement le prix à payer pour dominer un autre peuple, peut-être agira-t-elle différemment. L'écrasante majorité des intellectuels "progressistes" condamnent par exemple les appels aux soldats à refuser de servir dans les colonies.
Jacob Cohen (yacobous@yahoo.fr)
Dernier roman: Le printemps des Sayanim, éditions l'Harmattan.

Les SAYANIM ou les 5e colonnes du MOSSAD

Les SAYANIM - informateurs en hébreu - sont des Juifs de la diaspora qui, par "patriotisme", acceptent de collaborer ponctuellement avec le Mossad, ou autres institutions sionistes, leur apportant l'aide nécessaire dans le domazine de leur compétence.

Une illustration avec l'affaire Shalit, le soldat israélien enlevé par le Hamas. C'est un caporal d'une armée d'occupation, et pourtant son nom est devenu incontournable.
Pire. Son père, simple employé, a été reçu à plusieurs reprises par Sarkozy, Merkel, Barroso, Bush et Obama, le secrétaire général de l'ONU, du parlement européen, etc. Avec quel argent? De quelles complicités haut-placées a-t-il bénéficié? Et à quel titre?

Grâce aux Sayanim, le monde entier sait qu'UN soldat israélien est "otage" du Hamas, ce qui fait oublier les 11 000 prisonniers politiques palestiniens, souvent emprisonnés sur simple "détention administrative".

Il serait fastidieux de lister les hommes politiques français qui s'inquiètent de son sort. Rappelons que la mairie du 16e affiche fièrement son portrait.

Jacob Cohen
Dernier roman: Le Printemps des SAYANIM, éditions l'HARMATTAN

mardi 8 juin 2010

Les sionistes européens dictent la politique à l'Union européenne

"Dans sa lettre, adressée au chef de la diplomatie de l'Union européenne (UE) Catherine Ashton et au ministre espagnol des Affaires étrangères, Miguel Angel Moratinos, (l'Espagne assure actuellement la présidence de l'UE), Moshe Kantor, le président du Congrès juif européen (CJE) demande que l'ONG turque l'IHH ("Insani yardim vakfi" ou "Fondation d'assistance humanitaire"), cette "organisation islamiste radicale soit mise sur la liste des organisations terroristes interdites par l'Union européenne et que ses biens soient saisis". 
VOICI la nouvelle EXIGENCE des sionistes européens. Ils ont l'habitude de dicter leurs exigences. En général, l'Europe s'empresse de les satisfaire. Rappelons-nous le Hamas, démocratiquement élu, mis au ban car ne reconnaissant pas Israël. Il faut du culot pour ne pas reconnaître l'occupant qui vous bombarde et vous étouffe économiquement. Qu'a obtenu le Fatah en "reconnaissant" Israël? des miettes de pouvoir au service de l'occupant qui n'a jamais desserré son étreinte. Ses dirigeants peuvent se balader en Cisjordanie en grande partie contrôlée et à l'étranger, mais avec des permis délivrés par Israël. Et que celui-ci peut retirer à tout moment.
Question: Combien de temps mettra l'Union européenne à se soumettre aux exigences des sionistes européens? 

Jacob Cohen (yacobous@yahoo.fr)

Dernier roman: Les PRINTEMPS des SAYANIM, Editions L'HARMATTAN.

mardi 1 juin 2010

rafraichir les mémoires sur le racisme sioniste

"Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C’est normal ; nous avons pris leur pays. Il est vrai que Dieu nous l’a promise, mais comment cela pourrait-il les concerner ? Notre dieu n’est pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme, les Nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce leur faute ? Ils ne voient qu’une seule chose : nous sommes venus et nous avons volé leurs terres. Pourquoi devraient-ils accepter cela ?" David Ben-Gourion, premier ministre israélien, cité par Nahum Goldmann dans "Le Paradoxe Juif", page 121
Pour enfoncer le clou, Michel Collon cite, toujours sur Bellaciao, d’autres pensées de dirigeants israéliens tout aussi dérangeantes :
"Lorsque nous aurons colonisé le pays, tout ce que les Arabes seront capables de faire, sera de détaler tout autour comme des cafards drogués dans une bouteille". Rafael Eitan (chef d’état-major israélien). New York Times (14 avril 1983).
"Les Palestiniens sont comme des bêtes marchant sur deux pattes". Menahim Begin (premier ministre), discours à la Knesset, cité par Amnon Kapeliouk, Begin et les bêtes. New Statesman (25 juin 1982).
"Nous marchions dehors, Ben-Gourion nous accompagnant. Allon répéta cette question, qu’est-ce qu’on doit faire de la population palestinienne ? Ben-Gourion agita sa main dans un geste qui voulait dire : “Conduisez-les en dehors” !" Mémoires de Rabin, publié dans le New York Times (23 octobre 1979).
"Il n’y a pas semblable chose que les Palestiniens, ils n’ont jamais existé". Golda Meir, premier ministre israélien, 15 juin 1969
"C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer à l’opinion publique clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps. Le premier est qu’il n’y a pas de sionisme, de colonisation, d’État Juif sans l’éviction des Arabes et l’expropriation de leurs terres". Yoram Bar Porath, Yediot Aharonot (14 juillet 1972).
"Des villages juifs furent construits à la place des villages arabes. (...) Il n’y a pas un seul endroit construit dans ce pays qui n’ait pas eu une ancienne population arabe". Moshe Dayan, ministre de la Guerre, adressé à The Technion Haifa, rapporté par Ha’aretz (4 avril 1969).
"Nous devons tout faire pour nous assurer que les Palestiniens ne reviendront jamais, les vieux mourront et les jeunes oublieront". David Ben-Gourion dans ses mémoires le 18 juillet 1948 (page 157)

Jacob Cohen (yacobous@yahoo.fr)

Dernier roman: Les Printemps des SAYANIM, éditions l'Harmattan.